Commevous pouvez le voir sur la photo le vif est attaché sur la ligne par un émerillon , lequel est monté sur un petit tube plastique , ce qui permet au vif d'évoluer autour de la ligne , mais également verticalement . Si l'on ne désire pas faire évoluer le vif verticalement il suffit de pincer légÚrement un petit plomb au dessus ou en dessous (ou les deux) du tube pour
iStockUn Exemple OĂč Un Virus Est AttachĂ© En Saisissant Une Sangle Que Tout Le Monde Utilise Vecteurs libres de droits et plus d'images vectorielles de BusTĂ©lĂ©chargez dĂšs aujourd'hui l'illustration vectorielle Un Exemple OĂč Un Virus Est AttachĂ© En Saisissant Une Sangle Que Tout Le Monde Utilise. Trouvez d'autres vectoriels libres de droits dans la collection d'iStock, qui contient des graphiques de Bus facilement gm1212853989$9,99iStockIn stockUn exemple oĂč un virus est attachĂ© en saisissant une sangle que tout le monde utilise. - Illustration libre de droitsUn exemple oĂč un virus est attachĂ© en saisissant une sangle que tout le monde utilise. - clipart vectoriel de Bus libre de droitsDescriptionAn example where a virus is attached by grabbing a strap that everyone images de haute qualitĂ© pour tous vos projets$ avec un abonnement dâun mois10 images par moisTaille maximale Vecteur EPS â Adaptable Ă tout formatRĂ©fĂ©rence de l'illustration 1212853989Date de chargement 17 mars 2020Mots-clĂ©sBus Illustrations,Agent pathogĂšne Illustrations,Agripper Illustrations,Allergie Illustrations,AntihygiĂ©nique,Articulation du corps humain Illustrations,BactĂ©rie Illustrations,COVID-19 Illustrations,Condition mĂ©dicale Illustrations,Design Illustrations,Design plat Illustrations,DĂ©sinfection Illustrations,Fantasmagorie Illustrations,FertilitĂ© humaine Illustrations,Fond blanc Illustrations,Horreur Illustrations,Illustration Illustrations,Infection virale Illustrations,Afficher toutFoire aux questionsQuâest-ce quâune licence libre de droits ?Les licences libres de droits vous permettent de ne payer quâune fois pour utiliser des images et des vidĂ©os protĂ©gĂ©es par un droit dâauteur dans des projets personnels ou commerciaux de maniĂšre continue, sans paiement supplĂ©mentaire Ă chaque nouvelle utilisation desdits contenus. Cela profite Ă tout le monde. Câest pourquoi tous les fichiers prĂ©sents sur iStock ne sont disponibles quâen version libre de droits, y compris toutes les images et vidĂ©os types de fichiers libres de droits sont disponibles sur iStock ?Les licences libres de droits reprĂ©sentent la meilleure option pour quiconque a besoin de faire un usage commercial de photos. Câest pourquoi tous les fichiers proposĂ©s sur iStock, quâil sâagisse dâune photo, dâune illustration ou dâune vidĂ©o, ne sont disponibles quâen version libre de utiliser les images et vidĂ©os libres de droits ?Des publicitĂ©s sur les rĂ©seaux sociaux aux panneaux dâaffichage, en passant par les prĂ©sentations PowerPoint et longs mĂ©trages, vous aurez la libertĂ© de modifier, redimensionner et personnaliser tous les fichiers sur iStock, y compris toutes les images et vidĂ©os Bus, pour les adapter Ă vos projets. Ă lâexception des photos avec la mention RĂ©servĂ© Ă un usage Ă©ditorial » qui ne peuvent ĂȘtre utilisĂ©es que dans les projets Ă©ditoriaux et ne peuvent ĂȘtre modifiĂ©es, les possibilitĂ©s sont savoir plus sur les images libres de droits ou consulter la FAQ sur les photos et les vectoriels.
Soyezintraitable aussi sur les sorties dâautoroute ou la vitesse doit ĂȘtre ralentie rapidement au bon rapport de vitesse (attention, ne ralentissez pas pour autant tant que vous nâĂȘtes pas sur la voie de dĂ©cĂ©lĂ©ration !). Veillez Ă©galement Ă ĂȘtre vigilant sur une belle ligne droite : ne soyez pas tentĂ© de rouler Ă plus de 50 km/h
Samuel Le Bihan qu'on a pu voir dans Ils Ă©taient dix, lâactuel interprĂšte dâAlex Hugo, une sĂ©rie Ă succĂšs sur France 3, est un homme plus complexe quâil nây paraĂźt. Comme son personnage de fiction, câest un homme "qui d'apparence peut sembler fort, mais qui a ses propre dĂ©mons, ses fragilitĂ©s, ses faiblesses". Sa vie sentimentale mouvementĂ©e avec trois enfants nĂ©s de trois mĂšres diffĂ©rentes, une idylle naissante, son enfance qui nâĂ©tait pas "apaisĂ©e", ses relations compliquĂ©es avec son fils dĂ©peint un acteur connu mais dont on ne sait que peu de premiers cachets, Samuel Le Bihan les utilise pour gĂąter sa mĂšreLâacteur, comme beaucoup de ses confrĂšres, a connu des dĂ©buts compliquĂ©s avec des difficultĂ©s dâargent pour payer ses cours de théùtre. Heureusement, sa mĂšre a toujours cru en lui. Elle nâĂ©tait pas trĂšs riche, mais comme lâaffirme Samuel Le Bihan "Elle a toujours cru en moi". Cette confiance et ce soutien lui ont permis de vivre en faisant le mĂ©tier dont il rĂȘvait. Il ne l'a jamais oubliĂ© et avec ses premiers Ă©moluments, il a dĂ©cidĂ© de lui offrir une maison. Câest ce quâil a dit dans le podcast Parents dâabord "J'ai grandi en banlieue, je voulais la sortir de lĂ et lui offrir un autre cadre de vie. Ce sont des choses dont je suis fier. Ăa vous construit de faire de belles choses. Ăa vous donne plus de force, plus de dĂ©termination. C'est important de dĂ©velopper la confiance en soi. Et ça se fait aussi, Ă travers ces choses-lĂ , Ă travers la gĂ©nĂ©rositĂ©, Ă travers la conscience des autres, Ă travers l'engagement pour des causes. C'est trĂšs important de dĂ©velopper son sens de lâautre". Ce sont des valeurs qui le portent et le construisent et quâil insuffle notamment Ă son personnage dâAlex Le Bihan regrette la façon dont il a Ă©levĂ© son fils"Jâaimerais revenir en arriĂšre si je pouvais." Câest une façon de rĂ©sumer le regret de Samuel Le Bihan qui vit comme une blessure le sentiment dâavoir Ă©tĂ© un pĂšre maladroit. Il se sent coupable "Quand ma carriĂšre a explosĂ©, il Ă©tait tout petit. Ăa m'a un peu Ă©loignĂ© de lui. Ăa n'a pas Ă©tĂ© un moment facile, il n'a pas eu son pĂšre comme il aurait du lâavoir". Et câest quelque chose quâil vit mal mĂȘme si, aujourdâhui, il essaie de faire son mea culpa et de se rattraper. "Je n'ai pas eu une enfance forcĂ©ment facile non plus. Du coup, vous ne pouvez pas donner ce que vous n'avez pas eu. Je n'avais pas une enfance apaisĂ©e." Samuel Le Bihan Ă©prouve de la culpabilitĂ© par rapport Ă son attitude, et il veut reconstruire ce qui peut lâĂȘtre. Il essaie aussi de travailler sur lui-mĂȘme afin dâoffrir le meilleur Ă son deuxiĂšme enfant. Angia, son deuxiĂšme enfant, sâentend bien avec Stefania ChristianLe premier rĂŽle du film Le Pacte des Loups, rĂ©alisĂ© par Christophe Gans, est lâheureux pĂšre dâune fille de 10 ans. Samuel Le Bihan nâhĂ©site pas Ă mĂ©diatiser son combat pour aider et soutenir par sa notoriĂ©tĂ© les nombreux parents qui vivent des situations similaires. Il est, par ailleurs, le parrain de plusieurs associations pour la dĂ©fense des enfants atteints dâautisme. Il est Ă©galement lâauteur du livre Un bonheur que je ne souhaite Ă personne. Dans cet ouvrage, il revient sur lâĂ©preuve que reprĂ©sente lâannonce, la vie et le devenir dâun enfant souffrant de ce syndrome. Il rĂ©vĂšle aussi toutes les joies quâil peut en en couple avec Stefania Christian, une femme qui nâest la mĂšre dâaucun de ses trois enfants, lâinterprĂšte dâAlex Hugo fait tout son possible pour que les choses se passent de la meilleure des maniĂšres. "J'ai ma responsabilitĂ©. Je dois faire en sorte que le lien se fasse dans le bon sens. Il faut accompagner, il faut aider car tout le monde est un peu intimidĂ©. Donc, c'est Ă moi de crĂ©er les opportunitĂ©s pour que cela se passe bien pour tout le monde. Ăa a Ă©tĂ© ludique, on est sorti, on s'est amusĂ©. Il ne faut pas les laisser toutes les deux se dĂ©brouiller." Il a fait en sorte que sa fille "lâadore et qu'elle adore ma fille". © TOUS DROITS RĂSERVĂS
Entretiensavec Bertrand Dicale, Tout est permis mais tout n'est pas utile, Daniel Darc, Fayard. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de réduction ou téléchargez la version eBook.
Attachez votre ceinture, attachez-vous Ă la vie Si la ceinture de sĂ©curitĂ© Ă©tait lĂ pour faire joli, ça se saurait ! Elle est lĂ pour une excellente raison vous sauver la vie ! Si tout le monde attachait sa ceinture, ce serait chaque annĂ©e plus de 350 vies qui pourraient ĂȘtre sauvĂ©es.
Attachezvotre ceinture, attachez-vous à la vie Si la ceinture de sécurité était là pour faire joli, ça se saurait ! Elle est là pour une excellente raison : vous sauver la vie ! Si tout le monde attachait sa ceinture, ce serait chaque année
Manifestation pour la libĂ©ration de Georges Ibrahim Abdallah. D. contribution dâAmar Djerrad â Câest ce qui se dĂ©roule en France. Nous sommes Ă une Ă©poque oĂč le puissant dicte sa loi dans ce quâil croit la jungle, oĂč lâimmoralitĂ© devient morale et vice-versa, ou lâagresseur se dit victime, oĂč les dĂ©rives de la raison font des droits des citoyens des faveurs, leurs devoirs de la soumission, le respect compris comme de la peur, la loi servant dâinstrument pour subjuguer. Plus on sâefforce de consoler nos sentiments que cela va changer, que les choses vont sâapaiser, plus les diables, sâimposant dirigeants du monde, affinent leur dĂ©lire ravageur. Ils se croient tout permis, mĂȘme lâabsurditĂ©. Le monde est bĂąti sur les droits et les devoirs, la justice et lâhumanitĂ©, selon des rĂšgles admises et convenues ; y dĂ©roger ne suscite que des antagonismes et des conflits. MĂȘme cette France de De Gaule â avilie par des gouvernances proxy Ă©quivoques et antidĂ©mocratiques â nâest plus quâune pĂąle RĂ©publique, dĂ©crĂ©pie, sans soubassement, sans attrait, sans aura, qui a perdu toute considĂ©ration. Quand un pays comme le Mali ose la chasser de ses terres aprĂšs lây avoir invitĂ©e, tout en lâaccusant de servir en armant les terrorismes quâelle prĂ©tend venir combattre â en saisissant lâONU â câest non seulement que le curseur de lâĂ©gard est au plus bas, mais câest le comble de lâhumiliation qui remet en cause tous ses fondements historiques. Tout montre que les Maliens possĂšdent des preuves tangibles et irrĂ©futables qui vont mettre les gouvernants français dans une Ă©prouvante position. Dos au mur. La France est devenue un pays franchouillard souvent xĂ©nophobe au mĂȘme degrĂ© que les sionistes qui la dominent au sein mĂȘme de ses propres institutions. Elle nâagit, inĂ©vitablement, que dans les sens qui satisfont les Etats-Unis et IsraĂ«l. Ses lois sont Ă©rigĂ©es sur ce principe cardinal au risque dâĂȘtre accusĂ©e dâantisĂ©mite» ; un nĂ©ologisme construit dĂ©libĂ©rĂ©ment ambigu, Ă©rigĂ© en loi imposĂ©e par les lobbys, qui permet de dompter les adversaires et de rendre silencieux le critique le plus patriote. Comment un IsraĂ«l, petit pays factice créé par lâOccident, de toutes piĂšces, au sein dâun pays qui nâest pas le sien, arrive Ă dicter au monde des puissants ses desiderata et mĂȘme Ă faire changer leurs lois ? Comment, depuis 1948, IsraĂ«l qui spolie les terres palestiniennes, les bombarde, les assassine par milliers vieillards, femmes et enfants qui mĂšne une guerre illĂ©gale de conquĂȘte, dĂ©fiant les rĂ©solutions de lâONU, et personne en Occident, en particulier la France, ne trouve rien Ă dire ; que des sermons, sĂ»rement autorisĂ©s», sur le bout des lĂšvres ? Que peut bien opposer cette France rendue impure face Ă une injustice des plus crasses, piĂ©tinant dans la crotte ses fondements moraux humanistes, face Ă ce prisonnier atypique qui purge la perpĂ©tuitĂ© et qui est Ă sa trente-huitiĂšme annĂ©e de dĂ©tention. Georges Ibrahim Abdallah est lâarchĂ©type du prisonnier rebelle, rĂ©volutionnaire et patriote Ă subir, en France, une injustice sans Ă©quivalent. CondamnĂ© en 1984 Ă deux et plus tard Ă quatre annĂ©es de prison pour dĂ©tention dâarmes, puis Ă©cope en 1987 de la rĂ©clusion Ă perpĂ©tuitĂ© pour complicitĂ© dans les assassinats Ă Paris dâun agent du Mossad israĂ©lien et dâun attachĂ© militaire amĂ©ricain agent de la CIA ; crimes quâil a toujours niĂ©s. LibĂ©rable en 1999, il se voit refuser sa dizaine de demandes, sauf deux. MalgrĂ© ces deux avis favorables, ce militant libanais, chantre de la cause palestinienne et ennemi acharnĂ© de lâimpĂ©rialisme, la France le laisse injustement dĂ©pĂ©rir dans ses prisons. Ces refus rĂ©itĂ©rĂ©s confirment que la justice française, loin dâĂȘtre indĂ©pendante, se heurte au diktat amĂ©ricano-sioniste derriĂšre cette dĂ©cision illĂ©gale de priver de libertĂ© le dĂ©tenu le plus embarrassant. Aucune des hautes personnalitĂ©s politiques et judiciaires françaises y compris le PrĂ©sident ne sâest autorisĂ©e, jusque-lĂ , dâĂ©voquer son cas et lâinjustice dont il est victime, oubliant quâ une injustice faite Ă un seul est une menace faite Ă tous » Montesquieu. Aucun homme sensĂ© et raisonnable ne peut assister sans rĂ©agir Ă une iniquitĂ©, sinon ce serait de lâaliĂ©nation mentale. Abdallah est bien un otage» dĂ©tenu Ă©ternellement par la France, sans droit Ă sa libertĂ© pourtant reconnu, afin de ne pas dĂ©sobliger les tuteurs qui auraient certainement souhaitĂ© quâil soit mort. Il faut reconnaĂźtre toutefois que des milieux français patriotes sâĂ©vertuent depuis des annĂ©es Ă rappeler son cas en osant interpeller leurs dirigeants sur cette grave injustice aberrante. A qui sâadressent-ils ? A une race plus prĂ©occupĂ©e par leur nouvel ordre mondial», leurs intĂ©rĂȘts personnels, leur objectif de transhumaniser le monde suivant leurs rĂšgles dans un systĂšme unipolaire gouvernĂ© par eux. En fait, par les Anglo-saxons et les sionistes ; lâEurope, dont la France, nâĂ©tant quâun faire-valoir. Pauvre France ! Ses officiels et ses institutions supposĂ©s indĂ©pendants» sont incapables dâappliquer en toute souverainetĂ© leurs propres lois sans un quitus des lobbys qui la dominent en particulier sionistes et/ou amĂ©ricaines au risque de se voir mise au banc des renĂ©gats. Leur libertĂ© dâaction est soumise au veto des princes» qui la pilotent. Avec toutes leurs compromissions dans des affaires douteuses, dans leurs mensonges et manipulations, dans leurs pratiques et mĂ©thodes les plus viles et dangereuses, dignes des bandits â qui viendraient dâun atavisme colonial pas si lointain â, ces scĂ©lĂ©rats de dirigeants osent encore le culot, comme si de rien nâĂ©tait, de donner des leçons sur les droits de lâHomme et les libertĂ©s au reste de la planĂšte en se considĂ©rant hautainement comme rĂ©fĂ©rence universelle en la matiĂšre, pendant que le peuple français subit la censure, le refoulement, la coercition, voire la rĂ©pression. Lâaffaire Georges Ibrahim Abdallah restera, malgrĂ© toutes les cachoteries et diversions, un caillou dans le soulier des dirigeants français. MĂȘme mort en prison, lâinjustice dont il aura fait lâobjet lâagrandira, stimulera ses partisans et soutiens en attendant que les auteurs paient leurs actes barbares tĂŽt ou tard. A. D.
Necachez pas vos faiblesses. Ne cachez pas vos erreurs. Ce sont elles qui permettent Ă votre interlocuteur de sâidentifier Ă vous. Cela vous rend humain. Tout le monde sait que la perfection nâexiste pas. Gardez cela en tĂȘte. Une maniĂšre intĂ©ressante de parler de vos faiblesses est de donner une maniĂšre de les gĂ©rer.
Discussion Exemple de permis d'Ă©tude 26/08/18, 1802 1 Mathieu 40 ans Location Toronto, ON, Canada Messages 20 855 Likes reçus 10 378 Pour les personnes qui se demandent Ă quoi ressemble une lettre d'introduction pour le permis d'Ă©tude pour le Canada, voici un exemple. Et plus bas, il y a un exemple du permis d'Ă©tude lui-mĂȘme. Bon plan Air Transat Vous partez bientĂŽt au Canada ? Air Transat offre 23 kg de bagages aux pvtistes, stagiaires, Jeunes pro et Ă©tudiants s Plus d'infos... 26/08/18, 2341 2 Messages 8 899 Likes reçus 3 432 Ce n'est pas un permis d'Ă©tudes. C'est une lettre. Le permis d'Ă©tudes est dĂ©livrĂ© Ă la frontiĂšre et ressemble Ă ceci 03/12/20, 1933 3 Bolaaro 36 ans Location Conakry, GuinĂ©e Messages 9 Likes reçus 1 Message de larousse Ce n'est pas un permis d'Ă©tudes. C'est une lettre. Le permis d'Ă©tudes est dĂ©livrĂ© Ă la frontiĂšre et ressemble Ă ceci Bonjour Larousse, Merci pour ces prĂ©cieuses informations. Donc le nom de l'Ă©tablissement et le programme sont mentionnĂ©s sur le Permis d'Ă©tudes? 04/12/20, 0004 4 Location Canada Messages 13 734 Likes reçus 6 178 Bonjour, Message de Bolaaro Donc le nom de l'Ă©tablissement et le programme sont mentionnĂ©s sur le Permis d'Ă©tudes? Sur le permis d'Ă©tudes sont notĂ©s le nom de l'Ă©tablissement et le domaine d'Ă©tudes. Je te rĂ©ponds mais je ne comprends pas trop pourquoi tu as posĂ© cette question car ça ne change rien Ă ta situation et Ă ce que t'a rĂ©pondu Larousse hier. Si l'Ă©tablissement dans lequel tu comptes aller Ă©tudier n'est pas celui pour lequel tu avais obtenu ta lettre d'admission fournie pour ta demande de permis d'Ă©tudes, tu dois sans tarder contacter le MIFI si tu vas que QuĂ©bec et IRCC fĂ©dĂ©ral. Elle t'a donnĂ© la procĂ©dure Ă suivre Changer d'EED 04/12/20, 1004 5 Bolaaro 36 ans Location Conakry, GuinĂ©e Messages 9 Likes reçus 1 Message de Pliz Bonjour, Sur le permis d'Ă©tudes sont notĂ©s le nom de l'Ă©tablissement et le domaine d'Ă©tudes. Je te rĂ©ponds mais je ne comprends pas trop pourquoi tu as posĂ© cette question car ça ne change rien Ă ta situation et Ă ce que t'a rĂ©pondu Larousse hier. Si l'Ă©tablissement dans lequel tu comptes aller Ă©tudier n'est pas celui pour lequel tu avais obtenu ta lettre d'admission fournie pour ta demande de permis d'Ă©tudes, tu dois sans tarder contacter le MIFI si tu vas que QuĂ©bec et IRCC fĂ©dĂ©ral. Elle t'a donnĂ© la procĂ©dure Ă suivre Changer d'EED Bonjour Pliz, Merci Ă vous! Vous avez bien devinĂ© 28/02/22, 1301 6 Axel 28 ans Location Lyon, France Messages 4 Likes reçus 0 Salut tout le monde ! Je dĂ©terre un peu ce fil pour une question en rapport avec la date d'arrivĂ©e sur le territoire suite Ă la rĂ©ception de la lettre d'introduction du permis d'Ă©tudes. Je vois sur la lettre qu'il y a une date limite au delĂ de laquelle on ne peut plus entrer, ceci dit y a t-il dans l'autre sens une date avant laquelle c'est impossible ? Je m'explique je dĂ©marrerai normalement une formation au mois de septembre Ă MontrĂ©al mais projetais de partir avant en juillet, est-ce que muni de cette lettre en juillet, l'agent acceptera de me faire le permis d'Ă©tude, mĂȘme si celles-ci ne commencent qu'en septembre ? Merci et bonne journĂ©e Axel Identifiez-vous pour rĂ©pondre Pour accĂ©der Ă cette fonctionnalitĂ©, vous devez vous inscrire au prĂ©alable ou vous identifier grĂące au formulaire ci-dessous.
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Sile skate reste une pratique de rue à Limoges, sa démocratisation avance pas à pas, avec de nouvelles générations demandeuses de « progression » et de « structuration ».
Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Le lieutenant-colonel Evgueni Mironkine, quarante-deux ans, attachĂ© de l'air adjoint Ă l'ambassade soviĂ©tique Ă Paris, a Ă©tĂ© interpellĂ© dans la soirĂ©e du 29 mai au Salon de l'aĂ©ronautique du Bourget par des vigiles. Il portait sous le bras un paquet contenant deux appareils de guidage qu'il venait de dĂ©rober sur les stands de deux sociĂ©tĂ©s d'Ă©quipements Ă©lectroniques. Le premier de ces instruments est un dispositif utilisant les rayons laser pour le guidage des bombes sur l'objectif, un systĂšme similaire Ă celui utilisĂ© par l'aviation amĂ©ricaine dans les bombardements de prĂ©cision au Vietnam. Le second est un gyroscope employĂ© pour la stabilisation et le guidage des missiles. L'officier soviĂ©tique a Ă©tĂ© aussitĂŽt conduit Ă Paris pour ĂȘtre entendu par les policiers de la Direction de la surveillance du territoire. Il devait regagner dans la nuit l'ambassade d' BĂ©nĂ©ficiant de l'immunitĂ© diplomatique, le lieutenant-colonel ne pourra ĂȘtre poursuivi. Mais, selon la tradition, il sera vraisemblablement dĂ©clarĂ© persona non grata et priĂ© de quitter la France La dĂ©cision appartient maintenant au Quai d'Orsay. Cette procĂ©dure a Ă©tĂ© notamment employĂ©e, l'an dernier, Ă l'encontre du troisiĂšme secrĂ©taire de l'ambassade de TchĂ©coslovaquie, qui avait Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©, le 7 avril 1972, sur les Champs-ĂlysĂ©es, alors qu'il venait Je recevoir des documents confidentiels relatifs Ă la recherche Ă©lectronique. En 1965, aprĂšs la dĂ©couverte d'un rĂ©seau d'espionnage autour du projet de l'avion Concorde. M. SergueĂŻ Pavlov, reprĂ©sentant Ă Paris la compagnie aĂ©rienne soviĂ©tique Aeroflot, et qui Ă©tait en fait un ingĂ©nieur en aĂ©ronautique rĂ©putĂ© en fut expulsĂ©. Il possĂ©dait le statut diplomatique. Depuis, le colonel Rylev et, en fĂ©vrier 1972, M. Krokhine et deux de ses collaborateurs, tous membres de l'ambassade soviĂ©tique Ă Paris, accusĂ©s d'une trop grande " curiositĂ© " et soupçonnĂ©s d'appartenir aux services secrets, ont Ă©tĂ© Ă©galement dĂ©clarĂ©s persona non grata. L'affaire du Bourget est singuliĂšre, non seulement parce que le lieutenant-colonel Mironkine paraĂźt avoir Ă©tĂ© bien imprudent, mais encore parce qu'il a Ă©tĂ© surpris en flagrant dĂ©lit, ce qui est fort rare en matiĂšre d'espionnage. Ăvidemment, une manifestation comme le Salon aĂ©ronautique suscite bien des tentations, et l'on ne s'y Ă©tonne plus, par exemple, de voir, les premiers jours, les visiteurs soviĂ©tiques et bien d'autres se livrer avec passion au reportage photographique. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă la fois Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce quâune autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă lire ici ? Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il dâautres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant dâappareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est lâautre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
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Le permis de conduire est rĂ©putĂ© pour ĂȘtre lâun des examens les plus difficiles Ă rĂ©ussir en France. Et ce nâest pas pour rien, car il suffit de peu pour passer Ă cĂŽtĂ©, notamment en raison de la grille de notation qui peut rapidement vous faire perdre des points. LâinconvĂ©nient, câest que lâexamen du permis de conduire, et toutes les heures de formation qui lâaccompagnent, sont souvent trĂšs chers. Afin dâĂ©viter dâavoir Ă repasser lâexamen plusieurs fois et limiter les frais, mieux vaut donc se prĂ©parer correctement pour ĂȘtre sĂ»r de rĂ©ussir. Et pour cela, lâune des clĂ©s est de savoir comment fonctionne la notation, et sur quels points se concentrer. Nous vous donnons quelques informations ici dont le nombre de point Ă obtenir pour avoir le permis. Le dĂ©roulĂ© de lâexamen du permis de conduire Lorsque vous passez le permis de conduire, il faut savoir que tous vos faits et gestes seront scrutĂ©s par lâinspecteur. Et cela commence dĂšs votre installation dans la voiture, comme votre moniteur dâauto-Ă©cole a dĂ» vous lâexpliquer. Ainsi, dĂšs le moment oĂč vous vous asseyez Ă la place du conducteur, vous devez ĂȘtre dans de bonnes conditions. Pensez notamment Ă faire toutes les vĂ©rifications dâusage, comme le rĂ©glage du siĂšge, du volant et des rĂ©troviseurs. Et avant de dĂ©marrer, nâoubliez pas de vĂ©rifier que tout le monde est bien attachĂ©. Ensuite, il vous suffira, si lâon peut dire, de suivre les instructions de lâexaminateur sur la route. Il vous fera prendre plusieurs types de voies, rapides ou non, et vous demandera de rĂ©aliser en tout deux manĆuvres, en plus des questions de connaissances quâil vous posera Ă lâarrĂȘt. Lâexamen dure 32 minutes dont 25 minutes de conduite. Le reste correspond aux 2 manĆuvres et aux questions. Les diffĂ©rentes catĂ©gories dâĂ©valuation et combien de points faut-il ? Si nous prenons le temps de vous rappeler le dĂ©roulĂ© de lâexamen, câest que chacune de ces Ă©tapes Ă son importance dans la notation du permis de conduire. En effet, la grille officielle de lâexamen est la mĂȘme pour tout le monde et se dĂ©compose en plusieurs catĂ©gories Les compĂ©tences essentielles, comme la connaissance et la maĂźtrise du vĂ©hicule, lâapprĂ©hension de la route, ainsi que les notions de communication et la sĂ©curitĂ©. Ces Ă©lĂ©ments sont notĂ©s de 0 Ă 3. Lâautonomie et la conscience du risque qui sont notĂ©es de 0 Ă 1 selon trois critĂšres. 2 bonus Ă©quivalent Ă 1 point chacun pour la conduite Ă©conomique et la courtoisie au volant. Lâensemble de ces compĂ©tences peuvent vous permettre de rĂ©colter jusquâĂ 32 points 30 points + 2 bonus, qui est le score maximal rarement atteint. Pour valider votre examen, vous devez atteindre le minimum requis de 20 points, et ne pas commettre dâerreur Ă©liminatoire. Attention aux erreurs Ă©liminatoires Si vous commettez lâune de ces erreurs, votre examen sera considĂ©rĂ© comme ratĂ©, quel que soit le score que vous avez obtenu. Il est donc primordial de ne pas en commettre, sans quoi vous serez obligĂ© de repasser lâexamen, sans autre forme de procĂšs. Ces erreurs Ă©liminatoires correspondent gĂ©nĂ©ralement Ă des situations particuliĂšrement dangereuses mettant en danger les occupants de la voiture ou les autres personnes Ă lâextĂ©rieur, quâils soient dans un vĂ©hicule ou piĂ©tons. Grille dâĂ©valuation du permis de conduite Remarque la Note E » correspond Ă faute Ă©liminatoire. Ainsi peu importe le nombre de points obtenus mĂȘme sâils sont supĂ©rieurs Ă 20 points, vous serez recalĂ© au permis Ă lâexamen du permis de conduire.
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Aufinal, ça donne une boite bien étagée, trÚs compacte et trÚs facilement commandable. LEGO Technic - Compact 8 Speed Sequential Gearbox. Watch on. La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Haut.
International Un individu dâune trentaine dâannĂ©es est poursuivi dans lâouest des Ătats-Unis pour avoir dĂ©clenchĂ© plusieurs feux de forĂȘt, rapporte CNN. Les autoritĂ©s amĂ©ricaines veillent Ă agir au plus vite sur chaque dĂ©part de feu pour Ă©viter de faire face Ă des mĂ©gafeux, comme en Californie illustration. © NEAL WATERS / ANADOLU AGENCY / Anadolu Agency via AFP Une aide bien prĂ©cieuse. Selon la chaĂźne d'information en continu CNN, un homme a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© dans le sud-est de l'Ătat de l'Oregon le 25 juillet dernier alors qu'il Ă©tait suspectĂ© d'avoir dĂ©clenchĂ© plusieurs incendies. Si les dĂ©parts de feu se multiplient ces derniers temps, les circonstances de l'interpellation du pyromane prĂ©sumĂ© ne sont pas banales. En effet, dans un communiquĂ© publiĂ© sur Facebook, le shĂ©rif du comtĂ© a indiquĂ© que l'individu avait Ă©tĂ© interpellĂ© aprĂšs avoir Ă©tĂ© retrouvĂ© attachĂ© Ă un arbre. Selon le reprĂ©sentant des autoritĂ©s locales, l'homme avait Ă©tĂ© attachĂ© par trois personnes dans l'attente de l'arrivĂ©e des forces de derniers jours, le comtĂ© de Curry a vu le nombre de dĂ©parts de feu grimper en flĂšche. Fort heureusement, les actions rapides pour Ă©teindre les incendies ont trĂšs certainement Ă©vitĂ© une catastrophe ». Et pour cause, au total, les incendies ont ravagĂ© moins d'un hectare. Si les incendies n'avaient pas Ă©tĂ© maĂźtrisĂ©s et s'ils Ă©taient devenus incontrĂŽlables, ils auraient pu empĂȘcher tous les rĂ©sidents et visiteurs d'avoir une issue de secours », a tenu Ă souligner le shĂ©rif John c'est justement aprĂšs un appel de l'agence chargĂ©e de la surveillance des forĂȘts que l'alerte a Ă©tĂ© donnĂ©e un nouvel incendie touchait la zone. Or, le lieu de dĂ©part de feu n'Ă©tait accessible que pour une poignĂ©e de personnes. Dans le mĂȘme temps, un agent du Bureau of Land Management â l'agence qui surveille les terres appartenant aux autoritĂ©s publiques â travaillant dans une zone proche du feu s'est alors rendu compte qu'un homme marchait le long d'une route et allumait des incendies. Une rencontre qui a permis d'alerter la totalitĂ© des autoritĂ©s locales, de l'Ătat et fĂ©dĂ©rales, avec une description prĂ©cise du LIRE AUSSIĂ Landiras, les habitants ont le sentiment d'habiter une autre planĂšte »Le suspect attachĂ© Ă un arbre pour ĂȘtre maĂźtrisĂ© »C'est dans ce contexte que trois rĂ©sidents locaux de cette zone ont localisĂ© le suspect marchant sur la chaussĂ©e prĂšs des incendies », affirme le shĂ©rif local. Selon lui, les civils auraient dĂ©tenu l'homme jusqu'Ă l'arrivĂ©e des forces de l'ordre. Le suspect est devenu trĂšs combatif avec les trois habitants, il a dĂ» ĂȘtre attachĂ© Ă un arbre pour le maĂźtriser », complĂšte-t-il. Une fois sur place, les policiers ont emmenĂ© le pyromane prĂ©sumĂ© Ă l'hĂŽpital en raison de blessures superficielles. Il a, ensuite, Ă©tĂ© conduit en prison jusqu'Ă une premiĂšre audience mercredi. L'homme, ĂągĂ© d'une trentaine d'annĂ©es, est poursuivi â notamment â pour plusieurs incendies le mĂȘme temps, selon CNN, le suspect serait poursuivi pour d'autres infractions dont une violation de probation. Si, de coutume, il est plutĂŽt interdit de se faire justice soi-mĂȘme, le bureau du shĂ©rif du comtĂ© de Curry a adressĂ© ses remerciements Ă l'ensemble des personnes ayant permis de contrĂŽler les incendies et Ă dĂ©tenir [le suspect] ». Ă LIRE AUSSIIncendies quand les animaux trouvent refuge en Bretagne Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement Ătats-Unis un pyromane arrĂȘtĂ© par des riverains et attachĂ© Ă un arbre 8 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă la charte de modĂ©ration du Point. Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă la charte de modĂ©ration du Point.
Quandun chien est attachĂ© Ă une charrette, sâil veut la suivre, il est tirĂ© et il la suit, faisant coĂŻncider son acte spontanĂ© avec la nĂ©cessitĂ© ; mais sâil ne veut pas la suivre, il y sera contraint dans tous les cas. De mĂȘme en est-il des hommes : mĂȘme sâils ne le veulent pas, ils seront dans tous les cas contraints de suivre leur destin » Hippolyte, RĂ©futations de toutes
Harry Potter 2005 ~€~ Autres Lieux Magiques ~€~ A l'Ă©trangerEthan WoodSerdaigle Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Wood, le Sam 27 DĂ©c - 118 PV avec Ashton ParkerLa soirĂ©e s'annonçait plutĂŽt pas mal. Il y avait de l'alcool, des belles filles un peu partout dans la piĂšce et un garçon qui se trouvait ĂȘtre plutĂŽt cool avec qui il avait sympathisĂ© pendant la soirĂ©e et avec l'ambiance du Chaudron Baveur, le Wood ne pouvait que s'Ă©clater ce soir. Il avait dĂ©butĂ© par quelques verres qui lui flanquaient dĂ©jĂ un bon mal de crĂąne et avait finalement dĂ©cidĂ© de boire Ă mĂȘme la bouteille, il en foutait un peu partout mais qu'est-ce que c'Ă©tait bon de sentir l'alcool couler dans sa gorge !Apparemment, le type s'appelait Ashton Parker, Ethan ne le connaissait pas mais il avait cette impression de dĂ©jĂ -vu qui l'avait frappĂ© dĂšs qu'il avait vu le visage du gars. Il devait sĂ»rement ĂȘtre Ă Poudlard, il avait l'air jeune mais pas trop non plus, peut-ĂȘtre un sorcier de derniĂšre annĂ©e. Bah ! Au pire, il s'en foutait royalement, aprĂšs tout le lendemain il se souviendrait plus de rien alors mieux valait profiter de la soirĂ©e au maximum plutĂŽt que se poser mille et une leur stock d'alcool fut complĂštement vide et Ashton dĂ»t commander une nouvelle bouteille auprĂšs de la serveuse, elle leur servit ça rapidement et le Wood se jeta avec envie sur la bouteille, en mĂȘme temps que Parker qui semblait aussi assoiffĂ© que lui. Mais ce n'est qu'une fois que leurs mains se frĂŽlĂšrent et touchĂšrent simultanĂ©ment la bouteille, qu'une sensation beaucoup moins agrĂ©able que la gueule-de-bois s'empara du corps du Serdaigle. Il se sentit compressĂ©, trimballĂ© de tous les cĂŽtĂ©s et atterrit finalement sur un sol dur et poussiĂ©reux. AĂŻe. C'est lorsqu'il se releva qu'il comprit qu'il ne s'Ă©tait pas fait Ă©jectĂ© du Chaudron Baveur mais se retrouvait bien au milieu de nulle part. Ashton Ă ses cĂŽtĂ©s paraissait tout aussi perdu que lui. Ethan avait bien avalĂ© la poussiĂšre lors de son atterrissage et Ă©tait encore en train de cracher le peu de poussiĂšre qui demeurait sur sa langue. Que du bonheur ! Le Wood Ă©pousseta ses habits avant de lever la tĂȘte, wouah ! C'Ă©tait beau ! Y'avait pleins de petites lumiĂšres partout et le ciel Ă©tait noir ! Il avait beau ne pas aimer l'obscuritĂ©, tout ça restait vachement Eh. Tu sais oĂč on est ?IntriguĂ©, le Serdaigle se tourna pour essayer de dĂ©celer dans l'obscuritĂ© qui venait de parler et fit la moue quand il comprit que ce n'Ă©tait que Parker. Ah ! C'est vrai qu'il Ă©tait encore lĂ lui. AprĂšs tout, c'Ă©tait mieux d'ĂȘtre dans la m*rde avec quelqu'un qu'ĂȘtre dans la m*rde tout seul. Le Wood mit quelques instants pour analyser la question d'Ashton, ça tournait trĂšs vite dans sa tĂȘte. Trop vite mĂȘme. Il arrivait pas Ă se concentrer. Qu'est-ce qu'il avait dit dĂ©jĂ l'autre ? OĂč qu'ils Ă©taient ? Qu'est-ce qu'il en savait lui ? Il avait vraiment la tĂȘte du Guide Michelin ? Ethan se jeta soudainement Ă terre et tĂąta le sol de ses doigts, attrapant la poussiĂšre et le sable tout en le laissant glisser entre ses doigts. Il savait dĂ©sormais. Alors, il se releva et d'une voix on ne peut plus sĂ©rieuse, annonça Ă Ashton - J'pense qu'on est Ă Miami Beach !Y'avait du sable. Alors c'Ă©tait certain qu'ils Ă©taient Ă Miami Beach. AprĂšs tout, c'Ă©tait le seul endroit oĂč y'avait du sable, des Ă©toiles et un ciel noir non ? Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Parker, le Sam 27 DĂ©c - 2237 Si Ashton se sentait dĂ©jĂ un peu paumĂ©, l'autre Ă cĂŽtĂ© de lui ne semblait pas tellement mieux. Il lui lança une tĂȘte assez explicite Ă la demande sur le lieu qui signifiait que ce n'Ă©tait pas lui qui les avait envoyĂ© lĂ . En mĂȘme temps pourquoi il les aurait balancĂ© dans cet espĂšce d'endroit chelou ? 'Fin bon, si c'Ă©tait un Serdaigle il aurait dĂ» ĂȘtre intelligent et savoir, c'est quand mĂȘme pas trop demander, non ? Si mĂȘme un piaf savait pas alors personne savait phrase de vĂ©ritĂ© gĂ©nĂ©rale. Le sang-mĂȘlĂ© regarda donc Ethan mener son enquĂȘte trĂšs approfondie pour savoir oĂč ils avaient bien pu atterrir en examinant le type de J'pense qu'on est Ă Miami Beach !C'Ă©tait une bonne nouvelle, ça ! Il fit un grand sourire de satisfaction. Ashton avait toujours rĂȘvĂ© d'aller Ă Miami car c'Ă©tait une destination oĂč il faisait gĂ©nĂ©ralement beaucoup plus chaud qu'en Angleterre. Et en effet il faisait actuellement plus chaud qu'Ă Londres, tout concordait pour prouver qu'ils Ă©taient bien Ă Miami Beach. L'esprit de dĂ©duction du Serdaigle impressionnait beaucoup le Gryffondor, c'Ă©tait certain qu'il n'aurait jamais pu aller dans cette maison car il Ă©tait incapable d'un tel raisonnement. Mais tout de mĂȘme, le cerveau d'Ashton, qui ne rĂ©flĂ©chissait pas si vite que ça, se demanda un instant oĂč Ă©tait la ville. Parce qu'il avait entendu dire qu'il y avait des immeubles oĂč les gens vivaient. Mais en cogitant un peu, il en vint Ă la conclusion que c'Ă©tait la nuit et donc que tout le monde dormait. Or, si les gens dorment il ne peut pas y avoir de lumiĂšres d'immeuble. Pas si bĂȘte pour un Gryffy, hein ? - Par contre je vois pas la mer, dit-il d'un ton un peu déçu. C'est parce que ça doit ĂȘtre une trĂšs grande oui, si Miami Beach est si connu que ça il faut des grandes plages avec beaucoup de place pour que les gens puissent tous avoir une place. En tout cas avec la nuit noire qu'il faisait c'Ă©tait difficile de voir autour d'eux. Ashton leva la tĂȘte et regarda un peu les Ă©toiles. C'Ă©tait sympa Ă regarder, les Ă©toiles. Bon, c'est pas tout ça, mais ayant vĂ©cu plusieurs annĂ©es Ă Los Angeles, le Gryffondor Ă©tait un peu le pro des States ici. Attendez qu'il y ait de la lumiĂšre et Miami Beach n'aurait plus de secrets pour lui. Il fit une constatation un peu dĂ©cevante Ă C'est dommage qu'il y ait pas de Soleil, fit-il trĂšs sĂ©rieusement. On peut pas trop bronzer la Ethan WoodSerdaigle Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Wood, le Mar 6 Jan - 2117 DĂ©solĂ© pour le retard L'alcool qui circulait dans mon sang m'empĂȘchait de rĂ©flĂ©chir intelligemment, voilĂ pourquoi j'avais balancĂ© la premiĂšre idĂ©e qui m'Ă©tait venue concernant le lieu oĂč nous pouvions nous trouver, Ashton et moi. Dans mon esprit, il n'y avait pas 36 solutions et j'avais fait part de mes rĂ©flexions au Gryffondor dont le visage se fendit d'un large sourire. En voilĂ au moins un qui Ă©tait content d'ĂȘtre lĂ , je ne m'Ă©tais pas imaginĂ© en sortant de chez moi ce soir-lĂ , finir en plein milieu de Miami Beach. Si j'avais su, je serai restĂ© tranquillement chez moi, enfouie dans mon canapĂ© et recouvert d'une multitude de couvertures me tenant au chaud pendant que je regardais un de ces classiques mordus dont raffolent les enfants. L'alcool faisait des sembla buter pendant quelques instants sur ma proposition, il devait sĂ»rement rĂ©flĂ©chir Ă son tour mais ne trouva rien de mieux que mon idĂ©e puisqu'il resta muet. Je jetai un coup d'oeil aux alentours, il ne semblait y avoir Ăąme qui vive, je ne m'attendais pas Ă ce que la plage de Miami Beach soit aussi dĂ©peuplĂ©e. AprĂšs tout, il y avait bien des gens qui y vivaient non ? Enfin, plutĂŽt dans la ville mais Miami Ă©tait connue pour ĂȘtre plutĂŽt dynamique et les villes fantĂŽmes, en gĂ©nĂ©ral, ce n'Ă©tait pas dynamique. Il y avait quelque chose qui clochait. Je m'Ă©tais attendu Ă voir des feux de joies un peu partout autour de nous, des gens qui partageaient un pique-nique autour d'un barbecue ou bien mĂȘme un jeune couple s'embrasser sous le clair de lune. Certes, il devait ĂȘtre tard mais d'habitude, il y avait toujours une ou deux personnes qui traĂźnaient dans les rues, ou bien plutĂŽt sur le sable. Je fis une moue dubitative et me mordillai la lĂšvre de nervositĂ©. DĂ©cidĂ©ment, quelque chose Par contre je vois pas la mer. C'est parce que ça doit ĂȘtre une trĂšs grande fus tirĂ© de mes pensĂ©es par la voix d'Ashton qui, finalement, n'Ă©tait pas en total accord avec ma proposition. Je tournai sur moi-mĂȘme pour essayer de dĂ©celer la prĂ©sence d'eau mais le Gryffondor avait raison. Rien. Nada. La sĂ©cheresse. SĂ»rement le rĂ©chauffement climatique qui avait fait des dĂ©gĂąts, Miami Beach avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© ravagĂ©e ! Je ne croyais pas totalement en ce que proposait Ashton, une trĂšs grande plage possible mais lĂ , le sable semblait s'Ă©tendre sur des kilomĂštres et aucun signe d'eau. Normalement, j'aurai tiquĂ© de suite, une partie de mon cerveau certainement encore sobre avait compris que j'avais faux sur toute la ligne mais la majeure autre ne comprenait absolument rien Ă ce qui se passait et ne pensait qu'Ă une chose s'enfiler encore quelques verres d' C'est dommage qu'il y ait pas de Soleil. On peut pas trop bronzer la les Ă©paules. Il avait pas tort le Gryffondor ! En attendant que le taux d'alcool retombe dans mon sang, je me serai bien allongĂ© par terre pour prendre le soleil, j'Ă©tais tellement pĂąle qu'une fois que la lumiĂšre baignera Miami, j'aurai l'air d'une tĂąche au milieu de tous ces amĂ©ricains au teint halĂ©. Bien que je ne pouvais pas me brunir un peu la peau, je me laissai tomber sur le sable, j'avais toujours dĂ©testĂ© ça mais je ne pouvais pas faire autrement, la chaleur m'assommait et mes jambes auraient perdu leur force au bout d'un moment. J'attrapai le col de ma chemise et effectuai un mouvement aller et retour pour essayer d'offrir un peu d'air Ă mon torse mais malheureusement, l'air Ă©tait tellement chaud que toutes les tentatives que j'essayais pour me rafraĂźchir tombaient Ă l'eau. Et en parlant d'eau, je commençais Ă ĂȘtre assoiffĂ©, alcool, grenadine, eau, j'avais besoin de quelque chose pour inonder mon Je propose qu'on reste lĂ un moment, je sais pas Ă quelle heure on est arrivĂ©s ici mais je pense que le soleil va bientĂŽt faire son apparition. Enfin j'espĂšre, t'aurais pas une bouteille d'eau sur toi que tu aurais gardĂ© dans ta poche ? Demandai-je avec plein d'espoir. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Parker, le Dim 11 Jan - 2148 DĂ©cidĂ©ment, le cerveau d'Ashton devait ĂȘtre en partie imbibĂ© d'alcool, et pas de chance pour lui c'Ă©tait la partie qui rĂ©flĂ©chissait d'habitude. Du coup, au lieu de comprendre que quelque chose clochait dans leur raisonnement sur Miami, il avait trouvĂ© une raison Ă l'absence de lumiĂšres. Vachement intelligent. A cĂŽtĂ© de lui, Ethan semblait ĂȘtre dĂ©rangĂ© par un point de leur raisonnement pourtant infaillible. Ca, c'Ă©tait sĂ»rement son cĂŽtĂ© Serdaigle Ă toujours rĂ©flĂ©chir. Le Gryffondor avait Ă©tĂ© trĂšs impressionnĂ© de savoir que la salle commune des Serdaigles Ă©tait protĂ©gĂ©e par une Ă©nigme qui changeait chaque jour. En ce qui concerne sa propre maison, si c'Ă©tait ce systĂšme qui rĂ©gissait l'entrĂ©e de la salle commune, nul doute que beaucoup d'Ă©lĂšves resteraient dehors pour la nuit. DĂ©jĂ que certains arrivaient Ă oublier le mot de passe. Wood sembla dubitatif sur l'hypothĂšse de la grande plage. Mais Ashton Ă©tait absolument certain que la mer Ă©tait trĂšs remplie et qu'il Ă©tait difficile de l'assĂ©cher. Quoiqu'il en soit ils verraient bien au levĂ© du jour. En voyant que le vendeur de la BAM Ă cĂŽtĂ© de lui essayait de s'Ă©venter pour avoir un peu d'air, le sang-mĂȘlĂ© se fit la rĂ©flexion qu'il faisait quand mĂȘme trĂšs chaud Ă Miami Beach pour cette pĂ©riode de l'annĂ©e. Mais comme ils Ă©taient prĂšs de l'Ă©quateur, le PĂšre NoĂ«l passait certainement chez les gens en maillot de bain. Ce devait ĂȘtre juste une question d'habitude Ă prendre. En tout cas, un petit coup de vent ne ferait de mal Ă personne, c'Ă©tait certain vu qu'ils Ă©taient les seuls gens aux alentours et que ça ne les dĂ©rangeaient pas eux. Logique implacable. Ashton dĂ©cida d'enlever sa chemise et de l'attacher autour de sa taille histoire d'avoir un peu moins chaud. Le rĂ©sultat Ă©tait pas super mais c'Ă©tait dĂ©jĂ Je propose qu'on reste lĂ un moment, je sais pas Ă quelle heure on est arrivĂ©s ici mais je pense que le soleil va bientĂŽt faire son apparition. Enfin j'espĂšre, t'aurais pas une bouteille d'eau sur toi que tu aurais gardĂ© dans ta poche ?Bonne question, c'est vrai que Miami Beach Ă©tait assez dĂ©cevant niveau alcool. Il n'y avait pas une petite bouteille aux alentours et la gorge d'Ashton avait besoin de boire quelque chose. Il fouilla ses poches mais ne trouva malheureusement pas d'alcool. Le Gryffondor fit signe qu'il n'avait rien Ă boire non plus. Mais soudain il eut une idĂ©e Attends, j'vais essayer de lancer un Aguamenti, ça se trouve si je change un peu c'est de l'alcool qui va puisant dans tout le gĂ©nie qui Ă©tait en lui, Ashton formula un Alcoolmenti le plus sĂ©rieusement du monde... Et rien ne se passa. Ben oui, il fallait s'y attendre, si on lance un sortilĂšge qui existe pas y a rien qui se passe. La mine dĂ©confite, le Gryffon alla s'assoir par terre en espĂ©rant qu'une bouteille apparaisse subitement Ă cĂŽtĂ© de lui. Ethan WoodSerdaigle Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Wood, le Dim 11 Jan - 2308 PaumĂ©s dans le dĂ©sert africainAvec Ashton ParkerMa gorge Ă©tait horriblement sĂšche Ă prĂ©sent et je sentais que ça n'irait pas en s'amĂ©liorant. Il faisait beaucoup trop chaud autour de nous et aucun signe d'une petite bouteille remplie de liquide pour rafraĂźchir ma gorge. Avec ma main, j'essayais de me faire un peu d'air en l'agitant de bas en haut face Ă mon visage mais je ne recevais que des lĂ©gers souffles d'air chaud. Je n'aurai jamais pensĂ© terminer ma soirĂ©e de la sorte, alors que je commençais Ă peine Ă m'amuser dans ce bar, il avait fallu que j'ai la chance de tomber sur une bouteille d'alcool qui n'Ă©tait qu'un Portoloin. Je me demandais pourquoi la serveuse n'avait pas Ă©tĂ© emportĂ©e Ă notre place, elle avait touchĂ© la bouteille avant nous mais pourtant, il ne s'Ă©tait rien passĂ© avec elle. Je me demandais bien pourquoi alors que je commençais dĂ©jĂ Ă m'imaginer mille et uns scĂ©narios incluant la serveuse de ce soir qui aurait tout manigancĂ© pour que nous soyons coincĂ©s Ă Miami Beach si c'Ă©tait bien l'endroit oĂč nous nous trouvions. Ă mesure que le temps avançait, je devais bien avouer que je n'Ă©tais plus trĂšs sĂ»r du lieu oĂč nous Ă©tions, certes il y avait du sable mais c'Ă©tait bien lĂ la seule chose en commun avec Miami Beach. Je sentais que la chaleur alentour me faisait dĂ©saouler doucement alors que peu Ă peu, je reprenais mes esprits. Peu aprĂšs que je me sois laissĂ© tomber lourdement sur le sol - ou plutĂŽt le sable - Ashton avait enlevĂ© sa chemise et l'avait attachĂ© autour de sa taille. Je ne voyais pas trop l'intĂ©rĂȘt, certes il devait certainement avoir autant chaud que moi mais ce n'Ă©tait sĂ»rement pas sa chemise lĂ©gĂšre qui l'Ă©touffait. J'aurai bien aimĂ© l'imiter mais j'Ă©tais sĂ»r que ça ne servait Ă rien et que le Gryffondor lui-mĂȘme ne voyait pas de changement alors tant qu'Ă faire, mieux vaut rester habillĂ©. Pour ma part, je ne portais qu'un seul t-shirt qui me collait Ă la peau et Ă©tait dĂ©jĂ imbibĂ© de sueur. En mĂȘme temps, il Ă©tait impossible de rester sec avec une chaleur pareille ! Je me souvenais avoir laissĂ© mon manteau et mon Ă©charpe au porte-manteau du bar, dĂšs que j'avais passĂ© le pas de la porte, j'espĂ©rais que personne n'oserait toucher Ă mes affaires. Mais tout compte fait, ce n'Ă©tait pas mon plus gros problĂšme pour l'instant, je devais savoir comment m'Ă©chapper de cette fournaise - en vie de prĂ©fĂ©rence. Le rouge et or Ă©tait plus jeune que moi et semblait tout aussi perdu dans cette situation que je l'Ă©tais, j'Ă©tais l'adulte et c'Ă©tait Ă moi de prendre les dĂ©cisions et aider Ashton. Pas l'inverse. Bien que je n'aurai pas Ă©tĂ© contre un petit coup de pouce de la part du sorcier, mĂȘme un caillou m'aurait Ă©tĂ© plus utile que lui en ce moment. Attends, j'vais essayer de lancer un Aguamenti, ça se trouve si je change un peu c'est de l'alcool qui va sortir. »Si j'avais eu la force pour lever mon bras, j'aurai certainement tapĂ© ma main contre mon front. C'Ă©tait une blague ? Nous Ă©tions complĂštement pommĂ©s au milieu de nulle part, sans aucune issue et lui, ne pensait qu'Ă continuer Ă boire pour avoir les idĂ©es encore moins claires qu'en ce moment-mĂȘme ? Las, je le regardais faire sans broncher et assistai Ă son minable Ă©chec. Alcoolmenti. Vraiment ? Qu'est-ce qu'il pensait ? Qu'une bouteille de whisky pur-feu allait tomber de sa baguette et atterrir dans ses mains ? Apparemment, il avait trop bu, beaucoup plus que moi puisque je commençais Ă avoir cet horrible mal de tĂȘte que j'ai souvent ressenti les lendemains de soirĂ©es bien arrosĂ©es. Ă moins que ce ne soit la chaleur ? Ce devait sĂ»rement ĂȘtre un mĂ©lange des deux, je supportais difficilement l'Ă©tĂ© en Angleterre alors me retrouver ici, c'Ă©tait comme me retrouver dans un four. C'Ă©tait horrible, la pire punition de ma vie. Alors que je me remuais quelque peu pour me positionner mieux, je sentis quelque chose qui piqua l'arriĂšre de ma cuisse droite. Je levai celle-ci et dĂ©couvris avec horreur ce qui ressemblait Ă un crĂąne d'animal ou d'espĂšce encore non-identifiĂ©e par la science. Je me levai subitement d'un bond, ayant retrouvĂ© toutes mes capacitĂ©s physiques et m'Ă©loignai le plus possible de cette chose. Nous ne nous trouvions pas du tout Ă Miami Beach, ou bien ce lieu Ă©tait bien diffĂ©rent des descriptions que l'on m'en avait faites et Ă©tait tout sauf propice Ă la vie. Ăcoute toi, dis-je en attrapant Ashton par le t-shirt, il faut qu'on sorte d'ici tout de suite tu m'entends ? On est pas Ă Miami Beach, on est dans un p*tain de dĂ©sert et si on reste lĂ Ă attendre que quelque chose se passe, on finira comme cette bestiole lĂ -bas. Je pointai du doigt le crĂąne. Il faut qu'on se concentre tous les deux, j'arriverai jamais Ă trouver un moyen de nous sauver sans toi tu m'entends ? On t'a rien appris Ă Poudlard concernant la survie en milieu hostile ? »Je perdais toute ma sĂ©rĂ©nitĂ© Ă mesure que je rĂ©alisais ce qui se passait et ce qui allait nous arriver. Si Ashton ne se rĂ©veillait pas et ne dĂ©saoulait pas rapidement, nous allions nous retrouver Ă la place du vieux crĂąne poussiĂ©reux, Ă lui tenir compagnie dans un autre monde. Et je voulais rester dans ce monde pour l'instant, je n'avais aucune envie de le quitter. Je marchais autour d'Ashton pendant que mon cerveau Ă©tait en Ă©bullition, pleins d'idĂ©es se mĂ©langeaient mais la plupart n'Ă©tait pas rĂ©alisable. Celle qui paraissait le plus plausible concernait le transplanage mais je rĂ©alisai rapidement que je n'Ă©tais pas apte Ă m'embarquer dedans. Je n'avais pas tout Ă fait Ă©liminĂ© l'alcool qui coulait dans mes veines et je ne voulais pas risquer la vie d'Ashton. Mais d'un autre cĂŽtĂ©, si je ne rĂ©agissais pas rapidement et ne m'arrĂȘtais pas sur quelque chose, nous allions mourir de dĂ©shydratation ou autre cause de dĂ©cĂšs Ă©trange. Ăa ne m'Ă©tonnerait pas que quelques bestioles Ă©tranges rĂŽdent dans les parages Ă la recherche de quelque chose Ă se mettre sous la dent. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Parker, le Mer 21 Jan - 1545 OulĂ , l'alcool c'Ă©tait bien au dĂ©but mais petit Ă petit Ashton commençait Ă se sentir de moins en moins en forme. Quand il Ă©tait complĂštement bourrĂ© il ne se rendait pas forcĂ©ment compte de tout, et c'Ă©tait d'ailleurs toujours le cas. Mais avec le fait de ne plus pouvoir boire venait une retombĂ©e des effets de ce type de boissons. Autant dire que le Gryffondor Ă©tait parti pour un bon mal de tĂȘte et qu'il en aurait certainement jusqu'au matin. A ça commençait Ă se rajouter une lĂ©gĂšre nausĂ©e. Autant dire que le sang-mĂȘlĂ© n'Ă©tait pas au top actuellement, si seulement il pouvait boire quelque chose, mĂȘme de l'eau suffirait Ă ce stade lĂ . Le regard que lui lança Ethan lorsqu'il lança son sort ratĂ© montrait bien que le Serdaigle ne s'attendait Ă aucun rĂ©sultat. Ce dernier commença d'ailleurs Ă ĂȘtre beaucoup moins dĂ©tendu que tout Ă l' Ăcoute toi, il faut qu'on sorte d'ici tout de suite tu m'entends ? On est pas Ă Miami Beach, on est dans un p*tain de dĂ©sert et si on reste lĂ Ă attendre que quelque chose se passe, on finira comme cette bestiole lĂ -bas. Il faut qu'on se concentre tous les deux, j'arriverai jamais Ă trouver un moyen de nous sauver sans toi tu m'entends ? On t'a rien appris Ă Poudlard concernant la survie en milieu hostile ?Ashton jeta alors un regard au crĂąne qui gisait sur le sol quelques mĂštres plus loin. Non, ce n'Ă©tait clairement pas ce Ă quoi il aspirait dans la vie, enfin dans la mort dans ce cas lĂ . Le Gryffondor cligna plusieurs fois des yeux, essayant de remettre en ordre les informations qu'il venait de recevoir. Tout se mĂ©langeait dans sa tĂȘte, et la sensation de migraine commençait Ă devenir insistante. Donc ils Ă©taient pas Ă Miami Beach ? C'Ă©tait la partie la plus dĂ©cevante, il aurait bien aimĂ© voir cette plage. LĂ oĂč ils se trouvaient n'Ă©tait d'ailleurs pas une plage, mais un dĂ©sert. D'un autre cĂŽtĂ© c'Ă©tait le principe d'une page sans eau. Ashton devait donc trouver un moyen de sortir d'ici, allez rĂ©flĂ©chis. Pendant quelques instants ce fut le blanc total dans son cerveau complĂštement Ă la ramasse, puis il eut une idĂ©e qui Ă©tait loin d'ĂȘtre bĂȘte quand on y Ben, quand on est en milieu hostile on transplane non ?Le Gryffondor espĂ©rait sincĂšrement qu'Ethan savait transplaner parce que lui-mĂȘme aurait Ă©tĂ© bien incapable de ramener ses fesses en Angleterre, alors encore moins avec quelqu'un d'autre. En plus entre eux deux c'Ă©tait le Serdaigle l'adulte responsable, si on pouvait dire. Ethan WoodSerdaigle Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Wood, le Lun 2 FĂ©v - 2011 Ethan avait besoin d'eau, sa gorge le brĂ»lait, il manquait cruellement d'alcool. Sa tĂȘte tournait aussi, il ne savait pas si c'Ă©tait la chaleur ou tout simplement les consĂ©quences de tout ce qu'il avait ingurgitĂ© dans la soirĂ©e. Penchant un peu plus pour la premiĂšre proposition, le Wood passa une main contre sa figure, son front Ă©tait en sueur et il dut se rĂ©soudre Ă enlever sa chemise et l'attacher autour de sa taille. Il avait pensĂ© pouvoir tenir avec ses vĂȘtements sur le corps mais ça devenait impossible, il avait l'impression d'Ă©touffer intĂ©rieurement. Ashton non plus ne semblait pas en grande forme, plus ça allait plus son visage s'assombrissait, ses traits se tiraient, lui aussi devait supporter les effets de la gueule de bois mĂ©langĂ©s au mal de tĂȘte qu'offrait la chaleur Ă©touffante. Entre-temps, Ethan s'Ă©tait laissĂ© tomber par terre, allongĂ© Ă mĂȘme le sol ou plutĂŽt le Gryffy lança un regard au crĂąne Ă moitiĂ© enterrĂ© dans le sable, le Wood l'imita. Si ça continuait ils allaient finir comme lui. Ashton clignait rapidement des yeux, Ethan l'observait, intriguĂ©, il lui avait demandĂ© d'agir, et lui, perdait son temps. Le silence Ă©tait pesant, plus ça allait et plus il devenait oppressant, il remua ses pensĂ©es intĂ©rieurement Qu'allait-il leur arriver ? Allaient-ils vraiment mourir ici aussi bĂȘtement ? Plusieurs fois le Wood avait Ă©tĂ© confrontĂ© Ă la mort que ce soit en combattant des mages noirs ou en tombant dans le coma Ă cause d'un des leurs, il avait rĂ©ussi Ă rester en vie et lĂ , il allait mourir parce-qu'il avait trop bu et n'avait pas les idĂ©es en place. "Ben, quand on est en milieu hostile on transplane non ?"Transplaner ? C'Ă©tait plutĂŽt une bonne idĂ©e. Mais en y rĂ©flĂ©chissant mĂ»rement, ça restait impossible. Le Wood Ă©tait trop faible, Ashton l'Ă©tait aussi et ce n'Ă©tait mĂȘme pas sĂ»r qu'il ait son permis. Ethan Ă©tait l'adulte, le responsable, mais lĂ il Ă©tait dĂ©passĂ© par les Ă©vĂšnements. Il ne savait pas quoi faire. Le transplanage c'Ă©tait leur derniĂšre solution mais elle restait impossible.. Y'avait bien une autre maniĂšre de s'en sortir vivant bon sang ! "Faut rĂ©flĂ©chir Ă autre chose, je te laisse faire j'ai l'esprit trop embrouillĂ© pour rĂ©flĂ©chir. Il croisa ses bras Ă l'arriĂšre de son crĂąne. Je suis pas en Ă©tat de transplaner et toi non plus, la seule chose qu'on rĂ©ussira Ă faire c'est de nous dĂ©sartibuler." Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Parker, le Jeu 26 FĂ©v - 2346 Dire qu'Ashton rĂ©flĂ©chissait au ralentit aurait Ă©tĂ© bien au dessus de la rĂ©alitĂ©. Ben oui, ça aurait dĂ©jĂ Ă©tĂ© admettre qu'il rĂ©flĂ©chissait, et lĂ c'Ă©tait pas certain. Son cerveau Ă©tait imbibĂ© d'alcool et donc complĂštement Ă la ramasse. Et qui plus est maintenant qu'il ne pouvait plus boire, le Gryffondor commençait Ă avoir des maux de tĂȘte. GĂ©nial pour essayer de penser de façon efficace. Tout ce qu'il savait c'Ă©tait qu'ici ce n'Ă©tait pas Miami Beach et que rester ici signifiait sĂ©cher au soleil quand le jour se lĂšverait. Et ça c'Ă©tait un mauvais plan. L'idĂ©e du transplanage Ă©tait la seule qui Ă©tait venue Ă l'esprit d'Ashton, mais malheureusement cela ne sembla pas convenir Ă Faut rĂ©flĂ©chir Ă autre chose, je te laisse faire j'ai l'esprit trop embrouillĂ© pour rĂ©flĂ©chir. Je suis pas en Ă©tat de transplaner et toi non plus, la seule chose qu'on rĂ©ussira Ă faire c'est de nous ce que redoutait le sang-mĂȘlĂ© transplaner en Ă©tant bourrĂ© Ă©tait vraiment une mauvaise idĂ©e, il fallait penser Ă autre chose. Le Lion se jura qu'il achĂšterait un elfe de maison une fois qu'il serait rentrĂ© en Angleterre. Au moins il aurait un esclave pour le ramener chez lui lorsqu'il serait complĂštement dĂ©chirĂ© en soirĂ©e. Ce serait un investissement trĂšs utile. Par contre le Serdaigle prenait la solution de facilitĂ© en le laissant rĂ©flĂ©chir, mais peut-ĂȘtre pas la solution de la sĂ»retĂ© car on ne pouvait pas ĂȘtre bien certain du rĂ©sultat que faisaient deux neurones de Gryffondor connectĂ©s. C'est alors qu'Ashton senti quelque chose de pas cool s'agiter dans son estomac, et remonter plus que ça ne Excuse-moi, dit-il en poussant Wood sur le Ă temps, il vomit le contenu de son dernier repas sur le sol. Promis, c'Ă©tait la derniĂšre fois qu'il buvait. Tout le monde savait qu'une promesse d'Ashton ne valait rien, mais c'Ă©tait clair que sur le moment il regrettait. Pour ce qu'il avait rĂ©gurgitĂ© par terre, il jeta un peu de sable dessus, c'Ă©tait biodĂ©gradable. C'est alors qu'une idĂ©e fit tilt dans sa tĂȘte, ils n'Ă©taient pas arrivĂ©s Ă Pas-RĂ©ellement-Miami-Beach tous seuls. Leur solution Ă©tait simplement de trouver l'objet qui les avaient amenĂ© Je sais ! Il faut qu'on cherche, comment ça s'appelle dĂ©jĂ ? Ah oui, un Portoloin ! Comme ça il va nous ramener Ă attendre que le Serdaigle comprenne qu'il s'agissait d'une idĂ©e de gĂ©nie, Ashton se mit Ă fouiller dans le sol - en Ă©vitant soigneusement la zone vomi. Au bout de quelques minutes de recherche vaine, il aperçut un truc cylindrique non loin d'eux c'Ă©tait la fameuse bouteille qu'ils avaient commandĂ© juste avant de se retrouver propulsĂ©s ici. Le sang-mĂȘlĂ© indiqua Ă Ethan de compter jusqu'Ă 3 pour qu'ils la saisissent en mĂȘme temps. Ethan WoodSerdaigle Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Wood, le Ven 6 Mar - 031 -Mes doigts entrent en contact avec le sable sec et chaud. J'en attrape une poignet et le laisse glisser entre mes doigts. Ashton s'active de son cĂŽtĂ©. Il essaye sĂ»rement de trouver une solution. Je souris. L'esprit encore embrumĂ© par l'alcool, je peine Ă bien rĂ©flĂ©chir et prĂ©fĂšre laisser cette tĂąche au Gryffondor. J'attends impatiemment. DĂ©sormais, je suis allongĂ© dans le sable et laisse de multiples grains pĂ©nĂ©trer dans mes vĂȘtements. Je dĂ©teste le sable. Je n'ai qu'une seule envie partir d'ici au plus a dĂ» percevoir mon empressement. Il semble se rĂ©veiller et fait les cent pas autour de moi. Je me contente de l'observer d'un air rĂȘveur. Mais qu'est-ce que je fais lĂ ? Cette question hante mon esprit depuis un bon moment mais je n'arrive pas Ă trouver de rĂ©ponse. Je lĂšve les yeux vers le ciel d'un noir d'encre. Aucune Ă©toile, aucun nuage, juste une lune ronde et immaculĂ©e vient troubler cette noirceur. Le paysage est magnifique mais je ne peux m'empĂȘcher de le relier Ă la mort. Je la sens toute proche, elle nous guette, j'en suis certain. Je suis au bord de la dĂ©shydratation. Ma gorge me brĂ»le de plus en plus et je peine Ă avaler. Ma fin semble s'approcher. J'ai toujours exagĂ©rĂ© la situation mais maintenant, je sens que mon heure est venue. -â se jette Ă mes cĂŽtĂ©s, ses mains pĂ©nĂ©trant dans le sable, et vomit le contenu de son estomac. Je m'Ă©carte rapidement. La substance liquide se rĂ©pand sur le sol et glisse sur le sable. BientĂŽt, une Ă©norme flaque de vomi git sur le sol. Parker s'essuie la bouche du revers de sa manche. Je reste Ă©cartĂ©, rĂ©pugnĂ© par l'odeur nausĂ©abonde qui s'Ă©chappe du reste de dĂ©jeuner du Gryffondor. -â Ne t'approche pas, je t'en prie. Tu ferais mieux de creuser un trou pour enterrer cette...-Je laisse ma phrase en suspens. Parker a trĂšs bien compris le message que je voulais faire passer. Il se relĂšve d'un bond, les yeux pĂ©tillants. Je m'approche de lui prĂ©cautionneusement et tends l'oreille. Peut-ĂȘtre aura-t-il une bonne idĂ©e cette fois-ci ?-â Je sais ! Il faut qu'on cherche, comment ça s'appelle dĂ©jĂ ? Ah oui, un Portoloin ! Comme ça il va nous ramener Ă le regarde, perplexe. Comment peut-il trouver un portoloin dans cette immensitĂ© sableuse ? NĂ©anmoins, je le laisse chercher. Je regarde la flaque de vomi du coin de l'oeil. Regarde-toi, Ă faire tout un cirque pour un reste de dĂ©jeuner ! Tu ferais mieux d'aider ce pauvre gosse Ă chercher ce fichu portoloin. Au fond de moi, je suis parfaitement conscient de l'aide que je peux apporter Ă l'Ă©tudiant. Cependant, je ne bouge pas. Je fixe le ciel. Si la mort m'attend rĂ©ellement au tournant, je prĂ©fĂšre avoir pour derniĂšre vue, une pleine lune qui illumine un ciel d'encre plutĂŽt qu'un amas de sable. J'entends Ashton gratter le sol prĂšs de moi, il est furibond. Je l'accompagne par la pensĂ©e. Autour de moi, des centaines de kilomĂštres de sable tous aussi semblables les uns que les autres. -â Il faut que tu cherches lĂ oĂč nous sommes arrivĂ©s. Il doit y avoir un gros trou lĂ oĂč nous avons ne sais pas si ce sont mes prĂ©cieux conseils ou bien son incroyable flair qui ont permis Ă Parker de trouver le portoloin. En tout cas, je le vois extirper une bouteille d'alcool Ă moitiĂ© vide. Je le rejoins rapidement pour ne pas manquer le dĂ©part et porte la bouteille Ă mes lĂšvres pour aspirer les derniĂšres gouttes d'alcool avant de quitter ce dĂ©sert au fond de la salle principale du bar que nous avions quittĂ©. Ma chemise attachĂ©e autour de la taille et mon torse nu attirent tous les regards. Je rougis. Je n'ai jamais aimĂ© ĂȘtre sous les feux des projecteurs. Je m'empresse de me rhabiller. Ashton n'a pas atterri trop loin de moi et semble aussi gĂȘnĂ© par notre arrivĂ©e Bonne soirĂ©e Ashton. Je crains qu'il n'est temps pour moi de me retirer. Je veux rejoindre mon lit au plus m'apprĂȘte Ă passer la porte de l'Ă©tablissement mais me retourne vers le Merci pour ton aide, quitte le bar d'un pas chancelant et la gorge pleine de grains de sable. Le fond de notre portoloin que j'ai ingurgitĂ© n'Ă©tait pas de l'alcool mais une bonne poignĂ©e de sable. Je crache par terre. Ma langue me dĂ©mange et mon palais me brĂ»le toujours autant. Rapidement, je retourne dans les rues plus attractives et interpelle un taxi. Je ne rentrerai pas Ă PrĂ©-au-Lard ce soir.[Fin du RP pour moi] EvanSerpentard Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert le Dim 22 Nov - 1550 ...PrĂ©pare son Portoloin !Spoiler~ Adieu, temps maussade de l'Angleterre ! Quelle idĂ©e de prendre la chaise de droite aussi ? En plus du voyage qui pouvait laisser des traces, l'Ă©cart brutal de tempĂ©rature risquait de faire mal au crĂąne ! Quoique... Pour le coup, la MĂ©tamorphose qui allait sauter en premier aux yeux de ses Ă©lĂšves serait celle du changement de temps ! Peut-ĂȘtre en viendraient-ils Ă regretter la froideur de Poudlard et ses fantĂŽmes emmerdant...Vous arrivez presque ici...Spoiler~ Perdu sur une dune de sable, les Ă©lĂšves allaient arriver. En contrebas, une oasis Ă©tait dans leur champ de vision. Mais Ă prĂšs d'un kilomĂštre ! La chaleur Ă©tait accablante sur la dune de sable, mais ce qui Ă©tait Ă©trange, c'Ă©tait que l'oasis elle, semblait se taper un orage, dans le sens oĂč seulement elle avait le droit de se dĂ©saltĂ©rer ! Mais ce n'Ă©tait pas une averse comme de celles qui tombent le plus souvent sur l'Europe non, mais de celles qui tombent Ă n'en plus finir, et oĂč tu te demandes si ta maison ne va pas finir inondĂ©... ~ Les rafales de vent Ă©taient particuliĂšrement fortes, et elles poussaient les fins grains de sable dans le moindre espace entre les vĂȘtements ! Sur la dune, une pancarte Ă©tait enfoncĂ© dans le sable, elle indiquait la marche Ă suivre pour les Ă©lĂšves. Une flĂšche pointant l'oasis, sur laquelle Ă©tait Ă©crit "Point de magie ne peut-ĂȘtre utilisĂ©e ici !". Quel comble, se taper une fournaise pour pouvoir se dĂ©saltĂ©rer sous une oasis qui subissait un vrai dĂ©luge !~ D'ailleurs, quand ils arriveraient sous les quelques arbres bordant l'oasis, ils pourraient facilement voir un tableau posĂ© au pied de l'eau, tenu par un piquet de bois. Dessus il Ă©tait inscrit ceci "Un portoloin est trĂšs utile pour voyager vers un endroit lointain, bien qu'il soit complexe Ă utiliser ! Et, sur les personnes les plus jeunes, quelques effets secondaires sont possibles ! Ah oui, et le temps capricieux ! Il est possible de le modifier ! Si vous voulez ĂȘtre au sec, regardez sur la gauche, vous verrez un impermĂ©able ! Il suffit de le toucher pour que la pluie s'arrĂȘte !"~ Ăvidemment, la derniĂšre affirmation Ă©tait fausse. LâimpermĂ©able serait le dĂ©but de leur nouveau voyage, en espĂ©rant que le premier ne les aient pas trop marquĂ©s... Il tenait sur un des rares arbres prĂ©sent, attendant que les Ă©lĂšves ne le touche. Il avait une heure d'activitĂ©, ce qui laissait le temps Ă ses Ă©lĂšves de venir le toucher, s'ils ne passaient pas leur temps Ă observer le paysage... L'idĂ©e finale Ă©tait de faire naĂźtre un doute dans leurs esprits, seraient-ils au calme Ă leur nouvelle destination ? OĂč seraient-ils Ă nouveau sujet au bon vouloir de leur professeur ?HRP Vous avez jusqu'Ă dimanche prochain pour Ă©crire votre arrivĂ©e et votre "route" jusqu'Ă l'oasis. Libre Ă vous de discuter avec vos compagnons ! Le tout Ă©tant que la premiĂšre personne qui prendra l'impermĂ©able fera office de dĂ©clencheur pour les autres sur le fait qu'il est un nouveau portoloin ! Have fun, ou pas GalatĂ©a PeverellSerpentard Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Peverell, le Dim 22 Nov - 2129 Je m'excuse pas avant pour toutes les insultes Ă l'encontre du professeur, c'est promis Rachel n'en pense pas un mot Elle nâavait mĂȘme pas eu le temps de sâasseoir, juste de poser la main sur le dossier de la chaise et HOP⊠voilĂ quâen un battement de cil il faisait chaud. TrĂšs chaud. Trop chaud pour que la serpentard ne se sente bien. Un battement de cil et elle se retrouvait les pieds dans le sable, celui-lui lui lacĂ©rant par la mĂȘme occasion chaque partie de son corps nây Ă©tait pas protĂ©gĂ©e, lâobligeant Ă rester chaudement vĂȘtu sous un soleil de plombs. Foutu vent, si au moins il Ă©tait fraiâŠUn instant, Rachel voulu se mettre Ă genou, pour tentĂ© de faire passer un lĂ©ger tournis, mais le sable lui brĂ»la la main et elle se releva aussi sec. En temps normal, il nây avait que les enfants qui souffrait Ă cause des portoloin, mais mĂȘme en grandissant la serpentard restait sensible Ă nâimporte quâelle moyen de transport. MĂȘme les portoloins. Cela-dit, elle nâavait jamais vraiment eu lâoccasion dâen essayer. Et mĂȘme si elle admettait sans mal que le principe Ă©tait plutĂŽt super, pour le moment elle dĂ©testait son professeur plus que tout. Rien Ă foutre de se lever tĂŽt, mais se retrouver sous cette chaleur au milieu dâune tempĂȘte de sable⊠TrĂšs peu pour Rachel. Heureusement pour elle car le reste ne semblait pas vouloir sâarranger, elle fut trĂšs rapidement dâattaque Ă continuer. Foutu professeur ! Quitte Ă les envoyer dans un dĂ©sert, il ne pouvait pas choisir un dĂ©sert de glace ? Je ne vais pas tenir longtemps ici moi, câest pire que lâenfer⊠».Pestant mentalement, parce que le faire Ă voix haute lui aurait donnĂ© lâimpression dâĂȘtre folle, mais aussi parce quâelle craignait tout de mĂȘme que le professeur soit dans les parages. Pestant mentalement, parce que ça lâaidait Ă faisant de son mieux pour se protĂ©ger le visage, la sorciĂšre observa les environs. Tout prĂšs dâelle un panneau. Un foutu panneau plantĂ© dans le sable qui semblait la narguĂ© en indiquant ce que la serpentard avait dĂ©jĂ comprise toute seule en essayant dâutiliser sa baguette. Rachel imaginait trĂšs bien son professeur confortablement installĂ© devant un Ă©cran plat, observant ses Ă©lĂšves de loin, juste histoire dâĂȘtre sĂ»r et de se marrer. Bon, il nâĂ©tait pas moldu, mais Rachel se lâimaginait toute de mĂȘme comme ça en ce moment, prenant largement son pied. Elle nâĂ©tait mĂȘme pas certaine que tout ça soit lĂ©gal. La serpentard tenta alors de voir ce qui se trouvait au-delĂ du panneau, mais ce quâelle vit ne lâa fit sourire quâĂ moitiĂ©. Certes câĂ©tait une oasis et en ce moment de pur souffrance elle en rĂȘvait, mais elle Ă©tait loin. Quoi que⊠mais nul doute quâelle aurait dĂ» mal Ă y arriver. Alors Rachel se mit en route tout de suite. Elle ignorait si elle allait ĂȘtre rejoint par ses camarades ou non, mais une chose Ă©tait sĂ»r, elle ne voulait pas attendre en plein soleil pour le savoir. La serpentard venait Ă peine dâarriver que dĂ©jĂ elle se liquĂ©fiait. DĂ©goĂ»tant ! Maudit prof ! Câest quoi le rapport entre ta satanĂ© matiĂšre et les portoloins, hein ? ».Non vraiment câĂ©tait quoi ? Rachel commença Ă marcher, doucement mais surement. Plus vite elle serait arrivĂ©e, plus vite elle pourrait se mettre au frai. En espĂ©rant que la pluie, ou plutĂŽt le dĂ©luge, ne soit pas bouillante⊠Et pour passer le temps elle tenta de rĂ©pondre Ă sa question voulait-il leur montrer de quelle maniĂšre on pouvait changer lâespace-temps en voyageant dâun endroit Ă un autre en un rien de temps ? Transformer le temps aussi ? Puisque de toute Ă©vidence cet orage nâavait rien de naturel. Mais pouvait-on vraiment considĂ©rĂ© ça comme de la mĂ©tamorphose ?Rachel releva la tĂȘte pour voir Ă oĂč elle en Ă©tait. ARG ! » pesta-t-elle une nouvelle fois. Rachel nâavait pas autant avancĂ© quâelle ne lâavait dĂ©sirĂ© et imaginĂ©. Elle avait mis sa cape sur sa tĂȘte pour se protĂ©ger du soleil, mais ce nâĂ©tait pas suffisamment et Rachel commençait Ă en ressentir les effets soit un terrible mal de tĂȘte. Si elle prĂ©fĂ©rait lâhiver ce nâĂ©tait pas pour rien. Devant elle lâoasis semblait toujours aussi loin, mais un coup dâĆil en arriĂšre lui confirma quâelle avait tout de mĂȘme progressĂ©. La serpentard sâapprĂȘtait dâailleurs Ă reprendre la route quand elle aperçu quelques un de ses camarades prĂšs de la chaise quâelle venait de quitter. Elle ne comptait pas les attendre parce quâelle avait trop chaud, mais elle Ă©tait heureuse de ne plus ĂȘtre seule dans le dĂ©sert. Ăa lui redonnait du courage et elle savait aussi que ça lâempĂȘcherait de craquer et de pleurer, en pauvre petite crĂ©ature quâelle Ă©tait. La frustration avait toujours eu des effets nĂ©fastes sur elle. Alors la sorciĂšre reprit sa route, sâassurant tout de mĂȘme rĂ©guliĂšrement que personne n'avait besoin d' au moins il nây avait pas eu autant de vent, elle aurait put observer le paysage, mais non⊠impossible pour le moment. Et câĂ©tait bien dommage car elle nâaurait sans doute plus lâoccasion de retourner dans le dĂ©sert de si tĂŽt. [âŠ]Quand ENFIN Rachel arriva Ă la limite entre la tempĂȘte de sable et la tempĂȘte de pluie, elle hĂ©sita Ă changer dâair. La serpentard mis ses main en guise de protection pour pouvoir lire correctement ce que le professeur avait laissĂ© Ă lâintention des Ă©lĂšves sur un tableau au abord des arbres "Un portoloin est trĂšs utile pour voyager vers un endroit lointain, bien qu'il soit complexe Ă utiliser ! Et, sur les personnes les plus jeunes, quelques effets secondaires sont possibles ! Ah oui, et le temps capricieux ! Il est possible de le modifier ! Si vous voulez ĂȘtre au sec, regardez sur la gauche, vous verrez un impermĂ©able ! Il suffit de le toucher pour que la pluie s'arrĂȘte !"Rachel regarda sur sa gauche et en effet, lâimpermĂ©able Ă©tait bien prĂ©sent, mais elle ne voulait pas y aller seule cette fois. Alors la serpentard attendit que ses camarades nâarrivent enfin. Si elle avait toujours aussi chaud, elle se sentait tout de mĂȘme mieux depuis quâelle avait utilisĂ© la pluie pour tremper sa cape avant de la mettre sur sa sorciĂšre avait eu, plus que tout, envie de se jeter dans le dĂ©luge pour se rafraĂźchir, mais elle se contentait de rester sur le cĂŽtĂ©, mouillant rĂ©guliĂšrement sa cape et buvant autant dâeau que possible Ă lâaide de ses mains. Elle Ă©tait paranoĂŻaque de nature et elle avait trĂšs bien compris que de toute Ă©vidence lâimpermĂ©able nâarrĂȘterait pas la pluie, mais lâemmĂšnerait ailleurs. CâĂ©tait un cours sur les portoloins oui ou non ? Elle adressa dâailleurs une remarque bien cinglante Ă lâencontre de son professeur Va te faire cuire une bouse de dragon, je ne toucherais pas ce truc ! Faut pas me faire prendre un chaudron pour un dragon. »En fait, elle craignait surtout quâaprĂšs ĂȘtre entrĂ©e sous lâaverse et aprĂšs sâĂȘtre trempĂ©e jusquâau os, que le portoloin ne les emmĂšne cette fois dans un dĂ©sert, mais de glace. La serpentard aimait peut-ĂȘtre le froid bien plus que le chaud, mais elle nâĂ©tait pas folle Ă ce point. Non vraiment, il valait mieux attendre ses camarades. On ne va jamais loin tout seul, alors quâĂ plusieursâŠDerniĂšre Ă©dition par Rachel Pasca le Mar 24 Nov - 1431, Ă©ditĂ© 1 fois Harmony LinPersonnelSte-Mangouste Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Lin, le Mar 24 Nov - 014 A peine avait elle touchĂ©e la chaise de droite qu'Harmony s'Ă©tait sentie tourbillonner puis fois que le mouvement se fut stoppĂ© et quand son ventre eu arrĂȘtĂ© de faire des rebonds, le jeune Serdaigle releva les yeux, se rendant tout Ă coup compte qu'il faisait anormalement chaud. D'une nature assez fragile, elle avait aussi mit quelques secondes Ă s'adapter un minimum au soleil qui lui vrillait la tĂȘte et qui crĂ©ait des taches noires devant ses yeux. Elle regarda alors autour d'elle et songea qu'elle devaient se trouver dans un dĂ©sert. En effet, il n'y avait que du sable Ă perte de vue, exceptĂ© un grand oasis qui s'Ă©talait en face de ses yeux, un peu plus loin. Avec cette chaleur, elle n'Ă©tait mĂȘme plus sure que cette entendue d'eau soit rĂ©elle mais elle se dirigerait tout de mĂȘme vers elle aprĂšs avoir fini d'inspecter les lieux, s'il n'y avait pas d'instructions -il ne faut pas oublier qu'elle Ă©tait supposĂ©e ĂȘtre en cours quand mĂȘme !-. Le plus Ă©trange Ă©tait ce qui semblait ĂȘtre au-dessus de l'oasis un ciel gris d'orage y rĂ©gnait et c'Ă©tait le seul endroit au-dessus de leurs tĂȘte qui n'Ă©tait pas d'un bleu sans nuages. Une fois que sa vue se fut complĂštement adaptĂ©e au soleil qui brillait de mille feux et au vent qui soufflait vers elle, elle remarqua que, non seulement le ciel Ă©tait gris, mais qu'il pleuvait averse lĂ -bas. TrĂšs intriguĂ©e, elle resta quelques instants Ă observer ce phĂ©nomĂšne puis se retourna pour voir ce qui se trouvait derriĂšre d'elle. Elle plissa les yeux, tentant de voir quelque chose et remarqua qu'un peu plus loin se dressait une pancarte qui semblait donner des indications. Elle lutta contre le vent pour y parvenir et pu enfin lire "Point de magie ne peut-ĂȘtre utilisĂ©e ici !", tandis qu'une flĂšche semblait indiquer la direction de l'oasis. Bien. Ils n'auraient au moins pas Ă chercher en direction des dunes de sables qui ne finissaient pas. Harmony regarda encore autour d'elle et observa tout d'abord quelques Ă©lĂšves qui semblaient aussi avoir du mal s'adapter au nouveau paysage mais quelque chose de plus la frappa. Un peu plus loin, un fauteuil Ă©tait renversĂ© et une fille Ă©tait allongĂ©e sur le sable, semblant sonnĂ©e. Harmony s'avança, se demandant si la jeune fille avait besoin d'elle, et s'arrĂȘta quelques mĂštres devant, ne voulant pas ĂȘtre trop brusque. Elle vu son visage et le reconnu instantanĂ©ment. Cette fille -beaucoup plus vieille qu'elle- avait participĂ© elle aussi au deuxiĂšme cours d'Evan ! Elle Ă©tait mĂȘme sortie quelques instants de la salle avec une autre Ă©lĂšve car elles ne se sentaient pas rapidement la situation avec le fauteuil et la fille dont elle ne connaissait pas le nom, elle demanda d'une voix forte, pour tenter de couvrir le bruit du vent - Excuse moi... Je peux t'aider ? Jade WilderPoufsouffle Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Wilder, le Mar 24 Nov - 1700 HRPGLa main simplement posĂ©e sur le bois de la chaise et, un quart de seconde plus tard, Jade fut comme aspirĂ©e, plongĂ©e dans une spirale sans fin, un peu comme les plus grands manĂšges Ă sensation moldus. On aurait pu comparer ça Ă un vol en balais un peu trop agitĂ©, mais ça n'Ă©tait rien par rapport Ă ce que la blondinette put ressentir l'espace de.. quoi ? Quelques secondes tout au plus. Mais suffisamment pour lui donner mal au puis soudain, boum ! S'Ă©crasant Ă terre comme un tartine de pain beurrĂ©, Jade put de nouveau sentir quelque chose sous elle et pas que.. le vide. Au contraire, face contre terre, elle pouvait sentir le sable brĂ»lant contre sa joue. Ouvrant un oeil, puis un autre, la blondinette les referma aussitĂŽt, ses yeux clairs supportant soudain trĂšs peu les rayons puissants du soleil. Bon sang. Elle ne s'Ă©tait pas trompĂ©e, c'Ă©tait bien un Portoloin, elle devrait se faire engager comme devin pour le cours de Radis. Enfin, du professeur Spinner. Quoique, aprĂšs ce qu'il s'Ă©tait passĂ©, ce n'Ă©tait sans doute pas une bonne idĂ©e de penser à ça en cours de MĂ©tamorphose. Cours bien mystĂ©rieux d'ailleurs, pourquoi les emmener loin de l'Ă©cole ?Bon. Lentement, les pupilles dorĂ©es finirent par s'habituer Ă la luminositĂ© environnante, Jade put voir oĂč elle se trouvait. Un dĂ©sert, littĂ©ralement. Prise d'une lĂ©gĂšre angoisse, Jade se redressa lĂ©gĂšrement, espĂ©rant voir d'autres personnes autour. Elle ne voulait surtout pas ĂȘtre seule dans un dĂ©sert, question de survie. Enfin.. Evan interviendrait sans doute si quelqu'un Ă©tait en dangers de mort.. hein ? Bref. Quoi qu'il en soit, elle n'Ă©tait pas seule, il y avait plusieurs autres Ă©lĂšves, la plupart qu'elle ne connaissait pas, mais qu' puis, d'ailleurs, juste au moment oĂč elle se faisait cette rĂ©flexion, Jade vit une premiĂšre annĂ©e arriver. Elle se souvenait d'elle d'ailleurs, puisque la brune Ă©tait prĂ©sente au dernier cours de MĂ©tamorphose et qu'elle avait quelque peu attirĂ© les regards. La pauvre, Ă sa place, l'Italienne se serait enterrĂ©e vivante, ne supportant pas d'attirer l'attention sur elle. Bref. Il faut dire aussi que la petiote avec de trĂšs jolis yeux. Ăa aussi, ça avait attirĂ© l'attention de la Excuse moi... Je peux t'aider ? Ah oui, retour Ă la rĂ©alitĂ©. Jade mit quelques secondes Ă comprendre la demande de la plus jeune, ayant tendance Ă oublier sa nouvelle condition. Mais non, elle Ă©tait toujours bel et bien en fauteuil, presque paralysĂ©e. D'ailleurs, oĂč il Ă©tait ce fichu fauteuil ? Un regard Ă gauche, un regard Ă droite.. ah, le voilĂ ! Il Ă©tait renversĂ© mais rien de bien grave, ça aurait pu ĂȘtre plus compliquĂ© si celui-ci avait Ă©tĂ© cassĂ© durant le voyage. Cependant touchĂ©e par la gentillesse de la petite brune, Jade hocha doucement la tĂȘte, essayant de garder le regard sur celle-ci malgrĂ© le vent. Maintenant, le plus embĂȘtant, c'Ă©tait d'assumer l'aide de quelqu'un. Jade avait eu Ă©normĂ©ment de mal Ă accepter en divination, lĂ c'Ă©tait pas beaucoup mieux malheureusement. Cependant, elle n'Ă©tait pas bĂȘte la blonde, elle savait trĂšs bien qu'elle ne s'en sortirait pas sans aide et dans un dĂ©sert, il n'y a pas vraiment matiĂšre Ă ce qu'on soit trop fier. Bon..- Oui.. Oui vog.. je veux bien..Outch, ça fait mal Ă la fiertĂ©. Enfin.. pas tant que ça finalement. Bon bref, on ne dira rien, elle avait acceptĂ© et c'est tout, pas de quoi en faire un fromage.. Avec l'aide de la Serdaigle, Jade se releva lentement. Une grimace s'insinua sur ses lĂšvres, ses jambes lui faisaient un PurĂ©e de mal, elle tĂąchait de ne pas faire subir trop de poids Ă la premiĂšre annĂ©e. Elle n'Ă©tait pas un Ă©lĂ©phant mais tout de mĂȘme. Quoi qu'il en soit, la douleur Ă©tait prĂ©sente et Jade mit de longues secondes Ă rejoindre le fauteuil, le redresser avec l'aide d'Harmony et s'y asseoir de nouveau. Oh bon sang, merci mon soupir de soulagement la prit, alors qu'elle relevait finalement le regard vers Grazie.. Harmony, c'est ça ?Un lĂ©ger sourire et Jade put enfin regarder autour d'elle. Une pancarte pas de magie. Ok. Dans un cours de mĂ©tamorphose, c'Ă©tait tout de mĂȘme relativement frustrant. Mais bon, le professeur avait sans aucun doute une idĂ©e derriĂšre la tĂȘte, non ? En tout cas, la pancarte Ă©tait sans Ă©quivoque, direction l'oasis. C'Ă©tait bĂȘte Ă dire, mais Jade faisait confiance Ă Evan, il y avait un but Ă tout ça, il suffisait de trouver Pas le choix..Bon, comment ça fonctionnait dĂ©jĂ c'truc ? Ah oui ! Ah oui mais non ! Quelle conne ! Pas de magie, donc ce fauteuil perdait lui aussi sa magie.. Rhaa.. Ok, que faire ? Sa rĂ©action premiĂšre aurait Ă©tĂ© la grĂšve pure et simple, elle aurait croisĂ© les bras et fait la moue jusqu'Ă ce que le professeur arrĂȘte cette blague. Mais non, il y avait un but, il ne fallait pas qu'elle l' Jade n'arrivait pas non plus Ă oublier cette sensation. Cette peur, d'ĂȘtre inutile, une brebis Ă©garĂ©e. D'ĂȘtre un poids pour les autres, de dĂ©ranger. La panique aurait pu la prendre si facilement.. Entrouvrant les lĂšvres, Jade s'apprĂȘtait Ă faire un effort supplĂ©mentaire demander pour la seconde fois, l'aide de la plus jeune. Mais mĂȘme pas besoin, voilĂ que celle-ci l'aidait dĂ©jĂ . Rouge tomate, la couleur de la honte, la couleur de ses DĂ©solĂ©e..La lĂšvre mordillĂ©e nerveusement, comme Ă chaque coup de stress, chaque nervositĂ©. En route pour l'oasis.. Longue marche, Harmony allait vite se fatiguer, du haut de ses petites annĂ©es. 11 ans, sans doute, comme chaque premiĂšre annĂ©e. Mais Jade n'avait pas le choix, le chemin dans le sable Ă©tait impossible sans quelqu'un pour l'aider. Et elle n'aurait pas pu marcher sur une si longue distance, dĂ©jĂ qu'elle avait du mal Ă tenir debout sans avoir l'oasis fut finalement atteinte et une jeune fille Ă©tait dĂ©jĂ lĂ . Une serpentard, que Jade ne connaissait pas. Elle l'avait sans doute dĂ©jĂ croisĂ©e mais sans plus. Relevant la tĂȘte pour adresser un sourire reconnaissant Ă Harmony, Jade observa le nouveau panneau. "Un portoloin est trĂšs utile pour voyager vers un endroit lointain, bien qu'il soit complexe Ă utiliser ! Et, sur les personnes les plus jeunes, quelques effets secondaires sont possibles ! Ah oui, et le temps capricieux ! Il est possible de le modifier ! Si vous voulez ĂȘtre au sec, regardez sur la gauche, vous verrez un impermĂ©able ! Il suffit de le toucher pour que la pluie s'arrĂȘte !"Mouaaais. Foutaises. Ce serait bien trop simple comme ça. Visiblement, la verte et argent attendant justement l'arrivĂ©e d'autres personnes, elle aurait Ă©ventuellement le mĂȘme avis ? Et la brune aux beaux yeux clairs, qu'en pensait-elle ?- Credete.. hum.. Vous.. y croyez vous ? GalatĂ©a PeverellSerpentard Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Peverell, le Mar 24 Nov - 1801 AprĂšs un long moment passĂ© toute seule, la serpentard accueillit les premiĂšres camarades qui la rejoignaient avec enthousiasme. Cet endroit Ă©tait pour elle pire que lâenfer et elle commençait Ă avoir des vertiges Ă cause de la chaleur, mais la peur de se retrouver mouiller puis dans le froid la terrifiait. Cependant, puisquâelle avait toujours eu cette manie dâexagĂ©rer les choses, de mettre en place les pires thĂ©ories, Rachel commençait aussi Ă se dire quâelle se faisait souffrir pour rien. Ce nâĂ©tait quâun doute⊠mais un doute affreux dans un moment comme celui-lĂ . Sans parler du fait quâelle se remettait tout juste de son premier voyage en portoloin, elle qui ne supportait que la marche et le balai âprincipalement parce que câĂ©tait elle qui dirigeait le balai logique et parce quâelle adorait volĂ© plus quâelle nâavait mal au crane. Le voyage ayant Ă©tĂ© court entre la salle de classe et ce dĂ©sert âmerci mâsieur âl, les sensations nâavaient Ă©tĂ© que plus fortes. Dâailleurs, la serpentard se demanda si transplaner faisait le mĂȘme effet, vu quâelle pensait justement Ă passer son permis. Enfin⊠dĂšs quâelle aurait ses Pas du tout, rĂ©pondit-elle Ă la question de Jade. Câest pour ça que je suis encore lĂ dâailleurs, en plus du fait que je ne voulais pas y aller seule. Jâai surtout peur quâaprĂšs entre entrĂ© sous lâorage et avoir touchĂ© lâimpermĂ©able on ne se retrouve cette fois sur un glacier. Pour la fiertĂ© on repassera, mais Rachel nâavait jamais eu honte dâavouer ce genre de chose. Dâailleurs, sâil nây avait pas eu ce vent infernal elle se serait mĂȘme permis de prendre la voix dâune petite fille. Mais dans ce cas on ne lâaurait pas entendu, et de toute maniĂšre personne, pas mĂȘme elle, nâĂ©tait vraiment dâhumeur Ă rire. En tout cas pas tant quâils se trouvaient en piĂ©gĂ© entre une tempĂȘte de sable et une averse tropical. La sorciĂšre retira la cape quâelle avait mit en bandeau sur sa tĂȘte pour retirer le sable et surtout le remouiller. Finalement ce nâĂ©tait pas plus mal que le professeur ne soit pas prĂ©sent, parce quâelle nâaurait pas Ă©tĂ© une gentil petite Ă©lĂšve, une poufsouffle infiltrĂ©e chez les serpents, si elle lâavait eu en face dâelle. Mais est-ce que les Ă©lĂšves oseraient protester et crier Ă lâinjustice une fois de retour au calme ? Sans doute que non et elle ne ferait pas exception. Rachel remit son turban en place, posant son regard vers le fauteuil roulant. Elle nâavait encore jamais vu aucun sorcier avec de fauteuil, donc elle sâĂ©tait toujours dit quâils avaient dâautres moyens de dĂ©placement dans un cas comme celui-ci, ou bien mĂȘme quâon trouvait toujours une solution pour que le sorcier marche tout seul. Mais visiblement elle sâĂ©tait trompĂ©e et elle se demandait comme les deux jeunes filles Ă©taient parvenues Ă venir jusquâici avec ça. Ăa nâavait rien Ă voir, mais elle avait dĂ©jĂ eu lâoccasion de tester le vĂ©lo sur du sable et lâexpĂ©rience sâĂ©tait rĂ©vĂ©lĂ©e dĂ©sastreuse alors un fauteuil⊠Rachel sâen voulait de ne pas les avoir aidĂ©es. Surtout quâHarmony nâĂ©tait pas trĂšs costaux pour le coupâŠ- Comment ça a Ă©tĂ© le voyage ? Vous auriez dĂ» me faire signe, je serais venue vous aider. MĂȘme si pour le coup jâaurais put y penser toute seule » se reprocha-t-elle. Pourtant câest vrai, ça ne lâavait pas effleurĂ© et maintenant elle se sentait Tu veux que je mouille ta cape aussi ? demanda-t-elle pour se rattraper. Laurae SyverellPoufsouffle Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert Syverell, le Mar 24 Nov - 1927 La seule expression entrant dans la tĂȘte de l'irlandaise Ă ce moment prĂ©cis Ă©tait "Mais c'est quoi cette m*rde !!". Etant aspirĂ© dans une sorte de dimension tel un ascenseur de Charlie et la Chocolaterie, elle se voyait partir on ne sait ou, les fesses collĂ©s Ă une pauvre chaise en bois qu'elle tenait par dessous, et non pas par les accoudoirs. Bah oui, rĂ©flexe ridicule, avec un hurlement ridicule perdu dans l'espace et le temps. Puis, comme si la chaise en avait marre, elle fut propulsĂ© Ă plusieurs mĂštres en avant pour un roulĂ© boulĂ© sur du sable brĂ»lant qui dura plusieurs longues secondes. Ne comprenant pas trop se qui se passe, et Ă©tant totalement sonnĂ©, elle resta plusieurs minutes sur ce sable brĂ»lant qui s'Ă©tait rependu dans tout ses vĂȘtements, et dans les cheveux. AprĂšs quelques minutes, la face contre terre, elle ressenti enfin la douleur en se rĂ©veillant dans son Ă©tat de "semi-conscient" et se recula rapidement. La lumiĂšre l'aveuglait Ă©normĂ©ment, et elle n'y voyait rien. Un mal de crĂąne vient lui bousiller voir mĂȘme griller les derniers neurones qui lui restait aprĂšs sa chute d'au moins une bonne dizaine de mĂštres de sable. Peu Ă peu, sa vue se rĂ©habitua et elle vit un ciel des plus bleu. Vu le sable... elle Ă©tait pas Ă P... LE SABLE? Nouveau rĂ©veil, la jeune femme prit sa baguette rapidement, et menaça tout ce qui Ă©tait autour d'elle, regardant les alentours. Rien, rien, que du sable ! Partout du sable ! La Blairelle avait chaud, trĂšs chaud avec ses vĂȘtements noirs d'uniforme et chaud d'automne. Voyant qu'elle Ă©tait toute seule pour le moment, elle se dĂ©shabilla, et ne laissa que sa chemise blanche qu'elle avait nouĂ© pour seulement cacher sa poitrine. Par chance, la jeune femme ne mettait jamais de Jupe, et avait troquĂ© par un short avec des collants. Collants qu'elle enleva tout aussi tĂŽt, et fourra tout cela dans son sac. Elle s'attacha aussi les cheveux, pour y voir plus clair sans ce vent chaud du dĂ©sert. Gardant son calme, elle regarda la chaise en bois plus loin, plus qu'une inutile chose sans valeur. BrisĂ© contre un rocher de mĂȘme couleurs que le sable. La jeune femme prit Ă nouveau sa baguette, et s'avança, avant de remarquer des traces de pas, puis les suivit. Elle arriva en face de quelques Ă©lĂšves prĂšs d'une Oasis. Ils Ă©taient fou AUCUN ne s'Ă©tait dĂ©shabillĂ©??? La jeune femme mourrait de chaud, habituĂ© a la neige et au froid d'irlande. Elle vit Jade, sur un fauteuil roulant. Apparemment, elle n'Ă©tait pas encore guĂ©rit. Une gamine poussait le fauteuil de son petit Hey les filles! La jeune femme couru vers eux, puis arriva a leurs hauteur. Voyant que la gamine ne ferait pas le poids, elle lança un sortilĂšge pour faire lĂ©viter le fauteuil... mais ça ne marchait pas. Fronçant les sourcils, elle ressaya sans succĂšs. "Mais c'est quoi ce bordel !!!" La Syverell tenta de faire apparaĂźtre de l'eau, rien que dale. La jeune femme prit panique et observa sa baguette, puis regarda autour d'elle. Un climat bizarre, une oasis, un panneau.... Ah ok, pas de magie. Super...Une Pouffy, une Serdy et une Serpy ensemble dans le meilleurs des mondes... Juste merveilleux ! - En ce moment, je crois que les profs ont trop tendance Ă boire. Que faites vous, dĂ©shabillez vous un peu ! Petit sourire moqueur, et elle dans tout ça? Elle buvait tout son soul tout les soirs sans exceptions ! C'Ă©tait plutĂŽt elle l'alcoolo de service, super la rĂ©putation aprĂšs, mais elle s'en fichait. Elle connaissait au moins l'une des filles. Jade, une Blairelle qui avait sans doute honte de voir une gamine de premiĂšre annĂ©e pousser son pauvre fauteuil non magique dans le sable. - J'ai quelque chose Ă te proposer Jade. Je te porte sur mon dos quand on bouge, tu me devras un service Ă©quitable... euh... toi tu pourras pousser plus facilement le fauteuil ! Dans tout les cas, on a pas de magie donc nos baguettes ne servent Ă rien. La proposition de service Ă©tait lĂ pour que Jade puisse accepter sans se sentir humiliĂ© ou part pitiĂ©. Dans tout les cas, elle connaissait dĂ©jĂ Ă peu prĂšs Lau', et savait qu'il n'y aurait pas de coup bas. C'Ă©tait une femme d'honneur, et elle le resterai... sauf si on commence Ă lui plantĂ© des couteau dans le dos, la elle devenait rapidement une Pouffy un peu trop fourbe pour sa maison. InvitĂ© Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert le Mer 25 Nov - 2027 Chloris assise tranquillement dans sa chaise se retrouvait clouĂ© au sol et ne pouvait plus bouger, autour tout tournait. Elle se sentit extrĂȘmement mal comme si on la prenait par les pieds, qu'on la renversait et on recommençait ! Elle hurla de peur se demandant pourquoi tout se passait comme ça ! GĂ©niale le premier cours !Puis elle se retrouvais lĂ au milieu de nulle part ! Heureusement elle avait retrouvĂ© LĂ©na ! Mais un mal de crĂąne et de ventre la pris et elle manqua de vomir ! Elle regarda autour d'elle et ne vit que des dunes Ă pertes de vues ! Une chaleur plus qu'Ă©crasante et un mal de crĂąne qui persistait... Et puis comme si une ampoule venait de briller elle remarqua une pancarte avec Ă©crit "Point de magie ne peut-ĂȘtre utilisĂ©e ici !"Cela devait donc dire qu'il fallait aller plus loin ! Elle leva le bout du nez et ne vit qu'une chose . Une oasis trĂšs loin et qui en PLUS avait l'air trĂšs trĂšs hostile ! Un gros orage se dĂ©chaĂźnait sur la pauvre petite oasis... Super le voyage ! Et puis comment on allait rentrer ? Mais bon au moins, le paysage Ă©tait beau ! Du coup elle en profita longuement ! Mais bon fallait continuer, alors la Gryffondor partit en direction de l'oasis. Elle y allait mais sans trop savoir pourquoi, en fait ... Personne ne lui avait demandĂ©, mais elle croyait voir une personne lĂ -bas, sĂ»rement un mirage mais on pouvait toujours tenter !Ce sable ! "Fichu sable " pensa-t-elle ! C'Ă©tait horrible, ça grattait, piquait et brĂ»lait ! Quelle atroce cours ! Elle continua d'avancer et regarda si LĂ©na la suivait ou non. Et puis finalement tant pis ! Alors elle partit en trottinant dans ce dĂ©sert si Ă©touffant. Chloris manqua de s'Ă©vanouir plusieurs fois !Toujours aussi loin que quand elle Ă©tait partit cette oasis ! Mais en jetant un coup dâĆil derriĂšre, elle vit bien que LĂ©na Ă©tait presque aussi loin que cette oasis, toujours tourmentĂ© par l'orage ! Puis elle vit certain arbre plus nettement, mais surtout le mauvais temps qui se rapprochait ! un peu de fraĂźcheur ferait peut-ĂȘtre du enfin ! AprĂšs , ce qu'il lui sembla ĂȘtre des heures de marche, elle arriva Ă cette oasis. DĂ©sormais trempĂ© jusqu'aux os, elle vit une jeune fille, elle n'approcha pas. Elle remarqua une pancarte Ă cĂŽtĂ© d'elle, alors elle la lu "Un portoloin est trĂšs utile pour voyager vers un endroit lointain, bien qu'il soit complexe Ă utiliser ! Et, sur les personnes les plus jeunes, quelques effets secondaires sont possibles ! Ah oui, et le temps capricieux ! Il est possible de le modifier ! Si vous voulez ĂȘtre au sec, regardez sur la gauche, vous verrez un impermĂ©able ! Il suffit de le toucher pour que la pluie s'arrĂȘte !"- Un porto... quoi ? C'est quoi ce machin ?Elle se parlait toute seule, mais espĂ©rait juste que la camarade l'entendrait et lui rĂ©pondrait ! Elle n'avait ni soif, ni faim, pas non plus chaud, froid non plus. Bref elle n'avait besoin de rien, juste d'un abri au moins. Chloris restait quand mĂȘme une fille assez naĂŻve mais pas trop non plus. Re PaumĂ©s dans le dĂ©sert sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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tout le monde est bien attaché permis